La campagne
colérique contre la Chine
LARRY ROMANOFF • 6
AOUT 2020
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Introduction
Cela
ne devrait être un secret pour personne, bien que cela semble encore être le
cas, qu’aucune des deux Guerres Mondiales n’aient été déclenchées (ni
souhaitées) par l’Allemagne, mais ce fut la création d’un groupe de Juifs
Sionistes Européens avec la ferme intention de détruire complètement
l’Allemagne.[1][2][3][4][5][6][7] Cependant,
cette thèse n’est pas l’objet de cet essai et je ne m’étendrai pas davantage
là-dessus, mais le contenu devrait prouver au lecteur moyen que la Première
Guerre Mondiale correspond certainement à cette description. Le principal but
de cet essai est de démontrer non seulement que « l’histoire se
répète », mais que l’histoire qui se répète aujourd’hui est
destinée à obtenir l’acquiescement des citoyens du monde Occidental (mais plus
particulièrement des Américains) en préparation de la Troisième Guerre Mondiale
– que je crois maintenant imminente.
En 1940, les Sionistes et propriétaires de médias Européens (se dissimulant derrière le paravent du gouvernement Britannique) déclenchèrent ce qu’ils ont appelé une « fronde de protestations » dans le but avoué « de susciter une haine personnelle contre le peuple Allemand et l’Allemagne », les parties prenantes ont vu avec satisfaction que 6 % de la population Britannique qui « haïssaient l’Allemagne » au départ avaient augmenté à 50 % à la fin de la campagne, et que cela ne s’arrêtait pas là. Les ondes radiophoniques regorgeaient de descriptions de la « cruauté et de la noirceur de l’âme Allemande ». [8] Il y avait des articles dans la presse Britannique en faveur de « l’extermination systématique de toute la nation Germanique » après la fin de la guerre. Puis, après la victoire sur l’Allemagne, chaque personne d’origine Allemande devait être exécutée et la nation Allemande elle-même devait disparaître à jamais. Ces exécutions avaient déjà commencé – les Camps de la Mort d’Eisenhower, suivis par le Plan Morgenthau, ont fini par échouer. Les méthodes « destinées à susciter une haine personnelle » de l’Allemagne se sont peut-être révélées trop efficaces. L’hystérie antiallemande se révéla si intense que le Roi George V avait dû changer son nom Allemand de « Saxe-Cobourg » en « Windsor », en renonçant à tous ses titres Allemands.
Ce n’est pas qu’aux États-Unis et au Royaume Uni que
cette haine des Allemands s’est propagée. Dans les pays du monde entier, les
médias ont répandu le même message de haine contre l’Allemagne et les
Allemands. Des équipes de « spécialistes » ont suivi le même scénario
dans la plupart des autres pays, toutes suscitant une haine massive des
Allemands qui étaient décrits comme l’incarnation du mal, en raison du seul
fait qu’ils étaient d’origine Allemande. Au Brésil, des manifestations et les
émeutes antiallemandes consumèrent le pays, avec la destruction d’entreprises
Allemandes, de la violence et le meurtre d’Allemands. Dans
presque tous les pays, la presse en langue Allemande et l’usage de la langue
Allemande ont complètement disparu au cours de la guerre de peur de
représailles, tout comme les écoles et la plupart des entreprises Allemandes.
Aucune n’a réouvert. Le Brésil avait à l’origine l’intention de rester neutre,
mais un syndicat étudiant nouvellement créé fut coopté et utilisé avec une telle
efficacité qu’en l’espace d’un an le Brésil déclarait la guerre à
l’Allemagne. [9] Au
Brésil, aux Etats-Unis, au Canada et en Australie, de nombreux noms de villes,
rues, et produits alimentaires furent changés pour éliminer leur origine
Allemande.
Dans
le monde entier, comme aux Etats-Unis, une fausse propagande de guerre a été
généralisée au cours des deux Guerres Mondiales, pour inciter des populations
entières à une haine irrationnelle envers tout ce qui est Allemand, allant même
jusqu’aux médias de recommander à ce que toute la race Allemande soit
exterminée – dans toutes les nations. Compte-tenu de toute cette frénésie,
l’Amérique a été le creuset de haine contre la population Allemande. Après la
Deuxième Guerre Mondiale, l’Allemagne a été largement accusée d’avoir utilisé
la propagande contre les Juifs, alors que nos livres d’histoire ont été purgés
de l’incroyable tempête de propagande maléfique et de haine contre les
Allemands par les Juifs, avant et durant les deux Guerres Mondiales. Pour plus
de détails, voir ci-dessous.
Les
origines de la manipulation massive de l’opinion publique
Il y
a de nombreuses années, le commentateur politique Juif-Américain Walter
Lippmann réalisa que l’idéologie politique pouvait être fabriquée de toutes
pièces, en utilisant les médias pour en contrôler aussi bien la présentation
que la conceptualisation, non seulement pour créer de fausses croyances
profondément imprégnées dans la population, mais aussi pour effacer totalement
des idées politiques indésirables de l’opinion publique. Cela a été le début
non seulement de l’hystérie Américaine pour la liberté, la démocratie et le
patriotisme, mais surtout de toute l’opinion politique préfabriquée, un
processus qui a été à l’œuvre depuis lors. Lippmann a créé ces théories de
persuasion massives du public, en utilisant des « faits » totalement
fabriqués profondément imprégnés dans l’esprit d’un public crédule, mais le
sujet est plus vaste. Un Juif Autrichien nommé Edward Louis Bernays qui était
le neveu de Sigmund Freud, était un des étudiants les plus précoces de Lippmann
et il allait mettre les théories de Lippmann en pratique. Bernays est bien
connu en Amérique comme le père des Relations Publiques, mais il serait plus
exact de le décrire comme le père du marketing de guerre Américain ainsi que
comme le père de la manipulation massive de l’opinion publique.
Bernays
déclarait que « si nous comprenons le mécanisme et les motivations de
l’esprit de groupe », il serait possible de « contrôler et
enrégimenter la multitude selon notre volonté sans qu’elle s’en
aperçoive » Il appelait cette technique scientifique de façonnage de
l’opinion publique « l’ingénierie du consentement », et pour
l’accomplir il a fusionné les théories de la psychologie des foules avec les
idées psychanalytiques de son oncle Sigmund Freud. [10][11]
Bernays
considérait la société comme irrationnelle et dangereuse, dotée d’un
« instinct de troupeau », et que si le système électoral multipartite
(dont il apparaît à l’évidence qu’il a été créé par un groupe de l’élite
Européenne comme mécanisme de contrôle de la population) devait survivre et
continuer à servir ces élites, il faudrait recourir à la manipulation massive
de l’opinion publique. Ces élites, « ces gens invisibles », auraient,
par leur influence sur le gouvernement et leur contrôle des médias, un monopole
du pouvoir, pour façonner les pensées, les valeurs morales et les
réactions des citoyens. Il était convaincu que ce groupe devrait inonder le
public de désinformation et de propagande chargée d’émotions pour
« acquérir » ce consentement de la multitude et donc régner sur
elles. Selon Bernays, ce consentement fabriqué de la multitude, créant ainsi la
conformité de l’opinion façonnée par de la fausse propagande, serait vital pour
la survie de la « démocratie ».
Bernays
écrivait :
« La
manipulation consciente et intelligente des habitudes organisées et des
opinions de la multitude est un élément important de la société démocratique.
Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un
gouvernement invisible qui est le véritable pouvoir de direction de notre pays.
Les gens sont gouvernés, leurs esprits façonnés, leurs goûts formés et leurs
idées suggérées, en grande partie par des gens dont ils n’ont jamais entendu
parler. C’est le résultat logique de la manière dont notre société démocratique
est organisée. Toute une multitude d’êtres humains doivent coopérer de cette
manière. Dans presque tous les actes de la vie quotidienne, nous sommes
dominés par un nombre relativement restreint de personnes qui comprennent les
mécanismes mentaux et les schémas sociaux des masses. Ce sont elles qui tirent les ficelles qui contrôlent l’opinion
publique »[12].
Dans
son ouvrage de référence intitulé « Propagande » [13],
qu’il a écrit en 1928, Bernays affirmait que la manipulation de l’opinion
publique était un élément nécessaire de la démocratie parce que les individus
par essence étaient dangereux (pour l’emprise et la prédation de l’élite)
mais pouvaient être orientés et canalisés par ces mêmes élites pour leurs
intérêts économiques. Il croyait à l’évidence que le contrôle virtuel complet
de la population était possible, et peut-être facile à réaliser. Il écrivit en
outre que :
« Aucun
sociologue sérieux ne pense plus que l’expression du peuple n’exprime une
quelconque … idée de sagesse. La voix du peuple exprime l’état d’esprit du
peuple, et cet état d’esprit est élaboré à cet effet par … ces personnes qui
comprennent la manipulation de l’opinion publique. Elle est composée des
préjugés hérités, de symboles, de clichés et de d’expressions verbales que leur
fournissent leurs dirigeants. Heureusement, le … politicien est capable, grâce
à l’instrument de propagande, de façonner et de modeler la volonté du peuple.
La multitude des esprits est si vaste et importante qu’elle peut être
enrégimentée, et toute aussi tenace lorsqu’ils sont enrégimentés, qu’ils [exercent]
une pression irrésistible que même le législateur, les éditeurs et les enseignants
sont impuissants ».
Et
ce n’est pas seulement la multitude du public qui était
« intrinsèquement dangereuse », mais les dirigeants d’un pays
correspondent aussi à cette définition, requérant également de la manipulation
et de l’emprise. Bernays réalisa que si vous pouvez influencer les dirigeants
d’un pays, avec ou sans leur coopération consciente, vous pouvez contrôler le
gouvernement et le pays, et c’est précisément ce qu’il avait en ligne de mire.
Bernays poursuit :
« Dans
certains aspects de notre vie quotidienne, pour lesquels nous imaginons être
libres, nous sommes dirigés par des dictateurs exerçant un grand pouvoir.
Ce sont des dirigeants invisibles qui contrôlent les destinées de millions de
personnes. Généralement, on ne réalise pas dans quelle mesure les
paroles et les actes de nos hommes publics les plus influents sont dictés par
des personnes habiles agissant en coulisse. Ni, ce qui est encore plus
important, la mesure par laquelle nos pensées et nos habitudes sont modifiées
par les autorités. Le gouvernement invisible semble être concentré par
une poignée de personnes en raison de la manipulation d’une machine sociale qui
contrôle les opinions et les habitudes de la population.
Et
dans ce cas, la « minorité » représente les riches élites
industrielles, leurs amis banquiers encore plus riches, et leur fratrie qui
contrôle les industries médiatiques, les éditeurs, publicitaires et l’industrie
des loisirs.
Jusqu’à
la première Guerre Mondiale, ces théories de la création d’une opinion publique
entièrement fausse basée sur de la désinformation, puis la manipulation pour
contrôler sa population, n’étaient que des théories, mais le succès stupéfiant
de la propagande de Bernays et son équipe durant la guerre révéla en brut les
capacités perpétuelles de contrôle de l’opinion publique dans tous les
domaines. Les concepteurs « habiles » du « gouvernement
invisible » de Bernays développèrent une technique standardisée qui est
essentiellement une propagande et du contrôle mental, ou du moins la maitrise
de l’opinion, et ils l’infiltrèrent par le gouvernement des Etats-Unis, ses
ministères et ses administrations, leurs dirigeants et les politiciens. En
parallèle, ils commencèrent à infiltrer les dirigeants de presque chaque groupe
indentifiable – fraternel, religieux, commercial, patriotique, social – en
encourageant ces hommes à infecter également leurs partisans.
Beaucoup
ont remarqué la mentalité du noir et blanc qui règne en Amérique. Il faut
l’attribuer principalement aux méthodes de propagande de Bernays. Bernays
lui-même affirmait que la propagande pouvait susciter des réactions
émotionnelles rapides et intenses dans le public, mais que la nuance à ces
réactions était limitée parce que la charge émotionnelle inhérente à cette
propagande créerait une sorte de mentalité binaire, contraignant la population
à entrer dans un monde noir et blanc – qui est précisément ce à quoi nous
assistons aux Etats-Unis aujourd’hui. Ce n’est pas difficile à comprendre.
Lorsque Bernays a inondé le public d’histoires fabriquées de toutes pièces
comme celle des Allemands contrôlant le babillage des bébés, l’étendue des
réactions potentielles était entièrement émotionnelle et se limiterait à leur
rejet ou peut-être à un blocage de l’information. En un sens, notre interrupteur émotionnel
serait contraint d’être en position « marche » ou
« arrêt », sans autres choix raisonnables.
La minorité de l’élite, comme Bernays les appelait, a
tôt fait de réaliser le potentiel de contrôle des gouvernements, et dans toutes
les administrations Américaines successives, le président et son équipe de la
Maison Blanche, les politiciens, les dirigeants de l’armée et des services de
renseignement, ont tous été la proie de cette même maladie de manipulation
habile. En
1939 « la grande volonté de guerre » de Roosevelt [14] [15] [16] a été la
conséquence de ce même mécanisme infecte, et une fois contaminé, il a bien sûr
approuvé l’infection de toute la population Américaine. Walter Lippmann et Edward Bernays ont réussi au-delà
de leurs rêves les plus fous. [17] [18]
Bernays
– Le Marketing de la Guerre
Lors
de la découverte de la propagande comme instrument du contrôle mental du
public pour le marketing de la guerre, cela vaut la peine de jeter un
rapide coup d’œil à l’arrière-plan historique de l’effort de guerre de Bernays.
A cette époque, les Juifs Sionistes Européens avaient conclu un accord avec l’Angleterre
pour faire entrer en guerre les Etats-Unis contre l’Allemagne, aux côtés de
l’Angleterre ; une faveur de l’Angleterre qui en contrepartie octroierait
aux Juifs la propriété de la Palestine pour installer leur nouvelle
résidence. [19] La
Palestine « n’appartenait » pas à l’Angleterre, ce n’était pas à
l’Angleterre de décider de l’octroyer, et l’Angleterre n’avait aucun droit
juridique ou moral de conclure ce genre d’accord, mais il fut conclu quand
même.
Le
Président des Etats-Unis Wilson était impatient de remplir ses obligations
envers ses maîtres en faisant entrer les Etats-Unis dans la Première Guerre
Mondiale comme ils le désiraient, mais la population Américaine n’avait aucun
intérêt dans la guerre Européenne et le sentiment populaire était contre sa
participation. Pour faciliter le résultat souhaité, Wilson créa la Commission
de l’Information Publique (La Commission Creel), [20] pour
faire la propagande de guerre en utilisant le lavage de cerveau de la
population Américaine, mais Creel n’était que la « façade » d’un
groupe qui comprenait des personnalités spécialement sélectionnées des médias,
de la publicité, de l’industrie du cinéma, et des facultés, ainsi que des
spécialistes en psychologie.
Les
deux membres les plus importants étaient Walter Lippmann, que Wilson décrivait
comme « l’homme le plus brillant de son époque », et Bernays qui
était l’expert dans contrôle mental du groupe, tous deux Juifs et conscients
des enjeux. Bernays prévoyait d’associer les avancées psychiatriques de son
oncle Freud avec la psychologie de masse adaptée avec les techniques de la
publicité moderne, et de les appliquer à la tâche du contrôle mental de la
multitude. Ce sont les grands schémas de propagande de Bernays et son influence
dans la promotion d’une fausse idée avérée que l’entrée en guerre des
Etats-Unis avait pour objectif principal « d’apporter la démocratie à toute
l’Europe », lesquels se sont avérés si efficaces dans le changement de
l’opinion publique sur la guerre. Grâce à Edward Bernays, le marketing de
guerre Américain était né et ne mourrait jamais.
Remarques
aux Lecteurs : Certaines parties du contenu immédiat
qui suit détaillent les spécificités de la propagande de Lippmann et Bernays
pour la Première Guerre Mondiale, et ne sont pas issu de mon travail. Elles ont été extraites il y a quelques années d’un
long document dont je ne peux pas identifier la source originale. Si un lecteur
est capable d’identifier la source, je serais ravi de recevoir cette
information afin de créditer l’auteur pour ses importantes recherches.
« La création de la CPI par Wilson a été un
tournant dans l’histoire du monde, la première tentative véritablement
scientifique pour modeler, manipuler et contrôler les perceptions et les
croyances de toute une population ». Avec
l’autorité de Wilson, ces hommes ont eu quasiment carte blanche pour appliquer
leur magie, afin d’assurer la réussite de leur programme et garantir l’octroi
des propriétés de la Palestine. Ces hommes et leur commission mirent en
œuvre « un programme de guerre psychologique contre le peuple Américain
à une échelle sans précédent dans l’histoire humaine et avec un taux de
réussite dont la plupart des propagandistes ne pouvaient que rêver ».
Ayant
reçu une délégation d’autorité étendue du Président des Etats-Unis et de la
Maison Blanche pour « conduire l’opinion publique vers la guerre » [21] et,avec
leur réussite menacée par le sentiment anti-guerre largement répandu dans le
public, ces hommes étaient déterminés à élaborer ce que Lippmann a appelé
« l’ingénierie du consentement ». La commission assumait la
tâche « d’étudier les différents moyens dont l’information parvenait à la
population et la manière d’inonder ces canaux avec des éléments en faveur de la
guerre ». Leurs efforts furent inégalés par leur échelle et leur
sophistication, étant donné que la Commission avait le pouvoir non seulement de
censurer officiellement les informations et d’empêcher celles ci de parvenir au
public, mais aussi de fabriquer de fausses nouvelles et de les diffuser
au niveau national par tous les canaux. En très peu de temps, Lippmann et
Bernays étaient assez bien organisés pour commencer à inonder les Etats-Unis de
propagande antiallemande en rédaction de pamphlets, films, chansons, articles
de presse et d’autres.
Selon
Bernays, l’élément clé était de déshumaniser et de diaboliser le peuple
Allemand en gavant les esprits des Américains d’histoires atroces
fabriquéesde toutes pièces. Les médias complaisants, largement aux mains des
Juifs, diffusèrent servilement de fausses histoires de bonbons empoisonnés
largués depuis des avions, de soldats Allemands rôtissant des bébés comme des
chich kebabs, violant des religieuses, et ainsi de suite. Les histoires
finirent par être considérées comme véridiques et la résistance naturelle du
public à la guerre fut surmontée. Ils [Bernays et son
groupe] utilisaient la révélation d’histoires d’atrocités, de fausses
accusations de terreur et de brutalité contre tout pays ou peuple dont
ils voulaient que l’opinion publique les considère comme
« l’ennemi », puis testaient et évaluaient la réaction du
public de leurs manipulations à cette fausse propagande ».
Dans
son livre de 1922, L’Opinion Publique, [22][23] Lippmann
écrit : « Le seul sentiment que quiconque peut éprouver concernant un
évènement qu’il n’a pas vécu est celui évoqué par l’image mentale de cet évènement
… Car il est évident que dans certaines conditions, les gens réagissent aussi
fortement à des fictions qu’à des réalités ». Et c’est cette manipulation
psychologique que ces personnalités ont employée pour transformer une nation
d’Américains pacifiques en féroces va-t-en-guerre. Les archives historiques de
cette longue liste de tissus de mensonges et de haine ont été assez bien
dissimulées, et la Maison Blanche, le Congrès et la Commission ont
comploté après la guerre pour détruire la plupart des preuves de leurs crimes,
mais je crois qu’aussi bien l’Amérique que les Juifs devront un jour
reconnaître ouvertement ce chapitre de l’histoire.
A
cause de Bernays, la propagande de faits atroces – la diffusion délibérée de
maux fabriqués et de crimes de guerre inhumains – devint le fondement des
efforts de la Commission. Harold Lasswell écrivait :
« Les
résistances psychologiques à la guerre dans les nations modernes sont si fortes
que chaque guerre doit apparaître comme une guerre défensive contre un agresseur
menaçant et meurtrier. Il ne doit y avoir aucune ambigüité sur celui
que le public doit haïr … si tout d’abord il n’est pas en colère, utilisez une
atrocité. Cela a été utilisé avec un succès qui ne se dément pas dans
chaque conflit que l’homme ait connu ». [24]
Bien
évidemment, les causes et les objectifs de la propagande étaient bien plus pernicieux
que tout ce que «l’ennemi » supposé avait envisagé, mais le but
n’était pas seulement d’inventer un ennemi, mais de le faire apparaître comme
« sauvage, barbare, inhumain », et donc digne d’être détruit.
Habituellement, les médias complaisants répètent et embellissent les histoires
sans essayer de les confirmer, et pratiquement à chaque fois, des
tentatives ultérieures de confirmer ces histoires d’atrocité s’avérèrent
infructueuses, les chercheurs étant incapables de démontrer des preuves de ces évènements,
un exemple typique étant le Rapport Bryce, le catalogue entier « de la
documentation des autorités sur les atrocités Allemandes » disparaissant
subitement sans laisser de trace lorsque vint le temps de les confirmer.[25][26][27]
Lippmann
et Bernays divisèrent leur commission en dix-neuf « divisions »,
chacune responsable d’un type différent de propagande, et chacune utilisant les
compétences d’un grand nombre de psychologues, d’experts de la publicité et de
personnel des médias. L’intention était d’inonder tous les moyens de
communication dans le but d’inciter à la haine de tout ce qui est Allemand et
de promouvoir l’entrée en guerre des Américains, la guerre étant la seule
option pour les Patriotes Américains. Leur nouvelle commission
produisit des dizaines de milliers d’articles remplis de propagande de haine
antiallemande et en alimenta tous les domaines de la presse Américaine. En
une semaine, plus de 20 000 colonnes de journaux comportaient des articles
de propagande entièrement faux produits par la Commission, faisant la promotion
de la haine de l’Allemagne et des Allemands, décrivant des atrocités qui ne
s’étaient jamais produites et dépeignant les Allemands comme des monstres
brutaux et inhumains. La Commission mit en œuvre une puissante censure dans
les médias Américains en imposant des « lignes éditoriales
volontaires » afin de supprimer tout contenu contradictoire.
Ils
ont créé une Division de « Fonctionnalités Communes » employant
des écrivains populaires et des essayistes pour écrire de la propagande
« officielle », et qui atteignait une audience de 10 à 15 millions de
lecteurs par mois. Une autre division était responsable des bandes dessinées
des rubriques de journaux et d’autres médias, avec l’intention avérée de
« mobiliser et de cibler par des bandes dessinées du pays un travail
constructif de guerre ». Ils
ont employé des milliers d’auteurs de bandes dessinées pour
« atteindre de nouveaux sommets de haine », en dépeignant les
Allemands comme des animaux primitifs et malveillants qui pillent, tuent ou
violent tous ceux qu’ils croisent.[28]
Ils ont crée une Division similaire pour le cinéma qui a abouti à la production
de douzaines de films outrageux et violemment antiallemands, des films
de haine contenant des histoires complètement fictives d’atrocités et
de bestialités commises par les Allemands. Cela a été la source de scènes de
films où l’on voit des Allemands (et des Japonais) mitraillant en l’air de
braves pilotes Américains qui s’étaient éjectés de leur avion en parachute.
Aucune de ces histoires n’était véridique ; il s’agissait de pures
fictions.
A
cette époque, comme aujourd’hui, l’industrie du cinéma aux Etats-Unis était
majoritairement contrôlée par des Juifs, qui voulaient apporter leur soutien.
Un éditorialiste Juif déclarait que « chaque personne travaillant dans
cette industrie voulait apporter sa contribution » et que « par des
tracts, des annonces et des extraits de films, des posters et de la publicité
dans la presse, ils allaient diffuser cette propagande si nécessaire à la
mobilisation immédiate des importantes ressources du pays ». En plus de
films produits par les studios de cinéma, la CPI avait créé sa propre Division
de Films qui produisait 60 à 70 films « officiels » qui étaient vus
par des dizaines de millions de spectateurs chaque semaine. Ils ont créé une
Division Publicitaire pour influencer la publicité commerciale dans son
ensemble, et qui insérait de la propagande de guerre antiallemande dans les rubriques
publicitaires des journaux et des magazines qui leur offraient gratuitement de
l’espace publicitaire, qui pour la plupart des publications importantes
des Etats-Unis comportent une grande part de ces publicités. Ils ont aussi produit et diffusé plusieurs milliers de
communiqués de presse « officiels », agissant virtuellement comme
l’organe d’information du gouvernement Américain et étant de fait le principal
fournisseur d’information de guerre dans le pays. Ils ont reçu l’aide de la
plupart des religions Chrétiennes Américaines qui étaient plus que volontaires
pour collaborer à cette propagande de guerre comme elles l’ont toujours fait.
Lippmann
et Bernays ont organisé les « Brèves de quatre minutes » où
75 000 volontaires ont préparées près de 8 millions de brèves
racontant les atrocités Allemandes perpétrées dans des écoles, des cinémas, des
églises, des synagogues, dessalles de réunion syndicale, partout. Bernays
prétendait qu’ils avaient raconté près de 8 millions de brèves à une
audience de 315 millions de personnes. Une grande partie d’entre eux ont été
produit par des Juifs. Voir la note explicative [29]
Ils
ont créé une « Division du Travail avec les Natifs Etrangers »
pour atteindre tous les immigrants de leur propre langue dans le pays, pour
utiliser ces communautés et diffuser la propagande auprès des leurs, en ciblant
prioritairement tous les étrangers ayant l’âge de s’engager dans l’armée et
pouvant être enrôlés en cas de guerre. Lippman et Bernays ont écrit :
« C’est
une question de fierté pour la Commission de l’Information Publique, comme elle
devrait l’être pour l’Amérique, que les directeurs de propagande Anglais,
Français et Italiens soient unis pour s’accorder à dire que notre publication
ait été remarquable, au dessus de toutes les autres, pour son intelligence
focalisée et efficace ».
Ils ont pris des agriculteurs pour en appeler à des
agriculteurs et des hommes d’affaires pour en appeler aux hommes d’affaires. Au
total, leurs intervenants ont fait plus de 7 millions de discours à plus de 300
millions d’Américains, provoquant ainsi la haine de l’Allemagne et des
Allemands, en appelant à la guerre. Après ces nombreuses incitations
émotionnelles perverses, le public se réunissait en petits groupes pour
attaquer et détruire les maisons et les commerces Allemands de leur ville.
La Commission a particulièrement ciblé les femmes, en établissant une Division des femmes pour contrer
la résistance féminine, de peur que les femmes « ne constituent un élément
subversif de la nation, au détriment de l’unité en temps de guerre, et du
fonctionnement sans encombre de [la conscription militaire obligatoire] ».
Par leurs relations étroites avec les médias, ils contrôlaient les couvertures
de nombreux magazines féminins, qui ont été utilisés pour encourager les femmes
à envoyer leurs fils à la guerre, en prétendant qu’ils reviendraient « en
homme » et non comme des cadavres.
Ils ont créé une division musicale et
recruté des milliers de paroliers pour créer des chansons avec des textes
antiallemands, puis ont eu recours à leurs contacts avec les stations radios
pour les diffuser constamment sur les ondes nationales. Une autre division fut
responsable des contenus des bibliothèques publiques, en éliminant
les livres Allemands, y compris les œuvres de célèbres auteurs et philosophes
Allemands. Tout ce qui était favorable à l’Allemagne a été censuré,
éliminé de la disposition du public, ou bien détruit.
Peut-être
que l’indice le plus significatif de la division, de la faillite morale de ces
hommes, était leur travail auprès des enfants de l’école publique. Ils
ont allègrement recruté des psychologues dans des programmes pour répandre leur
haine de l’Allemagne à travers le public Américain dans l’enseignement public
où l’on enseignait aux plus petits tout l’éventail de la propagande de
haine de Bernays, puis par le biais de VRP rendaient visites à d’autres écoles
pour développer la propagande de leurs cours, imprégnant aux écoliers des
histoires complètement préfabriquées sur les atrocités des Allemands dans
l’esprit de ces petits enfants.
Après
ces sessions de propagandes enflammées de nombreux enfants Américains ont
montré leur « patriotisme » en attaquant des groupes
germano-américains en leur jetant des pierres, et parfois avec les
félicitations des journaux de la région pour « leur sens du devoir ».
L’équipe de Bernays a publié des milliers de livres pour enfants et de
bandes dessinées dont les contenus de propagande mensongers comprenaient des
récits les plus infâmes et les plus haineux. Le dimanche l’on
remettait aux écoliers des cahiers et des crayons de couleurs, les encourageant
à dessiner de la violence contre les Allemands. Les bibliothèques parrainaient
les enfants antiallemands « les heures d’histoires » qui étaient des
cours de propagande haineuse fournis par Barnays.
La
littérature publique de Bernays attaquait tout ce qui était Allemand en
Amérique, y compris les écoles et les églises. Beaucoup d’écoles interdisaient
l’apprentissage de la langue Allemande à « des vrais Américains » et
les administrateurs s’empressaient de renvoyer les « enseignants
déloyaux », c’est-à-dire tout Allemands. Les noms d’innombrables villes et villages ont été
changés pour effacer leur origine Allemande : Berlin, Iowa était devenu
Lincoln, Iowa. L’alimentation allemande et certains noms ont été supprimés des
restaurants, Sauerkraut est devenu « choux liberté » ;
Dachshunds sont devenu « chiens liberté » et les « bergers
Allemands » sont devenus des « Alsaciens ».
Tous les orchestres Américains ont reçu l’ordre
d’annuler les représentations musicales des compositeurs classiques Allemands
comme Beethoven, Bach et Mozart (ce dernier est Autrichien). Dans
certains états il était interdit de parler l’allemand en public ou au téléphone.
Les
professeurs d’allemand ont été renvoyés des universités, les propriétaires de
journaux allemands ou de langue allemande n’avaient plus la possibilité de
vendre des espaces publicitaires, et ils ont du mettre la clef sous la porte à
cause du harcèlement constant. Les scouts Américains « Patriotes »
ont contribué régulièrement à bruler des paquets de journaux Allemands qui
étaient en vente, les Allemands étaient régulièrement insultés et pris à parti
par d’autres citoyens.
Bernays
a institué un programme sur les questions de patriotisme, et de loyauté de tous
les Allemands en Amérique en les labélisant comme une vision anti-guerre
et la preuve même de leur trahison. Les Allemands étaient forcés de se
rassembler publiquement en dénigrant l’Allemagne et leurs dirigeants. Ils ont
été obligés d’acheter des obligations de guerre et de déclarer publiquement
leur allégeance au drapeau Américain.
Alors
que la rhétorique de Bernays devenait plus dangereuse encore, l’hystérie
antiallemande et la violence augmentaient de façon proportionnelle. Beaucoup
d’Allemands ont été forcés de quitter leur foyer, souvent jetés du lit durant
la nuit, puis trainés dehors dans la rue déshabillés, dénudés, roués de coups
et fouettés, puis forcés de s’agenouiller et d’embrasser le drapeau Américain.
Nombreux sont ceux qui ont été enduit de goudron et de plumes, puis forcés de
quitter leurs villes ou leurs villages. Certains étaient pendus aux arbres. Les prêtres et les
pasteurs étaient trainés en dehors de leurs églises et battus pour avoir prêché
en Allemand.
L’hystérie antiallemande voyait des espions partout
avec la Commission et Bernays en ajoutait aux tendances enflammées en préparant
l’infâme discours de Wilson « jour dédié au drapeau » où il déclarait
« les maitres de l’armée Allemande ont rempli nos communautés qui ne se
doutaient de rien, de leurs espions vicieux et leurs comploteurs qui ont
cherchés à corrompre l’opinion de notre population ». Les éditeurs de
journaux s’écriaient que tous les Allemands étaient des espions qui allaient
empoisonner les Américains avec l’eau ou bien infecter les médicaments fournis
aux hôpitaux et que la plupart doivent être éradiqués en plein jour, et tués
pour trahison.
Les représentants du Congrès recommandaient de les
pendre, ou alors d’exécuter tous les Allemands en Amérique, les Gouverneurs des Etats s’empressaient d’utiliser
des bataillons pour les fusiller et éradiquer « ces éléments
déloyaux » de tout l’état. Le secrétaire d’état de la
Marine, Josephus Daniels indiqua que les Américains devraient « avoir peur
de Dieu dans les cœurs » de ces gens là. La plupart des Américains étaient
conscients que durant l’hystérie nationale (là aussi par Bernays) de la
2è Guerre Mondiale, le gouvernement US a forcé plus de 100 000 natifs
Japonais dans des camps de concentration, mais l’histoire a effacé les faits,
que de nombreux Allemands furent internés dans des camps de concentration
Américains juste avant et durant la première guerre, et ensuite durant la
Seconde guerre mondiale, après que leurs actifs furent saisis.[30]
Pendant
que Bernays était en train « de construire un monde plus sûr pour la
Démocratie », cette sécurité n’était pas pour les Américains. Sous le
commandement du Col E.M House, qui était le maître juif de Wilson, Wilson s’est
empressé de promulguer une législation très répressive incluant
l’Espionnage Act, et le Sédition Act dont les contenus étaient
entièrement fascistes, ce qui eu pour conséquence de rendre illégal à peu près
tout ce qui pouvait empêcher d’engager l’Amérique dans la guerre.[31][32]
La liberté d’expression et de rassemblement ainsi que la liberté de la presse,
disparurent virtuellement en Amérique durant cette période ; et
finalement, ce fut illégal de dire, ou d’écrire une quelconque critique du
gouvernement US, de leurs hauts fonctionnaires, et même de leurs propres
« symboles ».
Toute
expression contredisant l’entrée de l’Amérique dans la guerre, pouvait être
punie d’une amende de $ 10 000 (soit dix ans de salaire en moyenne à cette
époque) ou 20 ans de prison, avec plus de répression des forces de
police, lesquelles étaient en fait des milices
privées comme l’infâme groupe American Protective League qui
agissait sans aucune surveillance. L’éradication de l’opinion publique, de la
dissidence et le contrôle exercé sur la communication anti-guerre fut
universelle. La loi sur l’espionnage (Espionnage Act) indiquait que
« chaque lettre, écrit, circulaire, carte postale, photographie, impression,
gravure, image, journal, pamphlet, livre, ou toute autre publication, relatant
de sujets ou d’autres contenant des éléments dont l’intention était de
contredire le recrutement, ou l’engagement au service militaire des Etats-Unis,
était par la présente, déclarée inadmissible pour l’envoi postal ».
Rien
n’était permis qui pouvait empêcher la réussite du recrutement de soldats
Américains dans la guerre, que seuls les juifs voulaient. Avec tout cela, et
bien plus, Bernays et Lippman ont tourné l’Amérique en foyer de haine contre
toute la population Allemande, accomplissant ainsi l’objectif des sionistes
juifs par l’utilisation de l’armée Américaine en l’instrumentalisant comme si
c’était leur propre armée privée pour la guerre Européenne, afin d’accomplir
leurs ambitions pour la Palestine. Et ainsi ces deux hommes changèrent le cours
de l’histoire.
Cela
ne serait pas la dernière fois que Lippman et Bernays utiliseraient ces
techniques contre l’Allemagne. Cette attaque massive a été répétée un peu
après, dix ans plus tard pour détruire l’Allemagne et la pousser encore, dans
une autre guerre que les Allemands ne voulaient pas. Dans les années
30, les mêmes banquiers juifs Européens avec un programme aussi grand et
similaire voulaient que les US se joignent à une autre guerre qu’ils avaient
planifié de provoquer contre l’Allemagne. En 1933 ils se sont embarqués dans
une autre guerre commerciale dans l’intention de détruire l’Allemagne
financièrement, avec les grands titres de journaux comme « Juda déclare la
guerre à l’Allemagne ». [33][34][35][36]
Ils avaient déjà manipulé Roosevelt à “une intense volonté de guerre”
mais il y avait à nouveau un petit problème avec le public Américain qui n’en
voulait pas, et la « campagne de colère » indiquée auparavant a été
répétée de nouveau sur les histoires d’atrocités commises par les Allemands
dans tous les pays occidentaux jusqu’à ce que le monde entier, en arrive à
vouloir tuer tous les Allemands.
Les
théories de Bernays et le modèle de la manipulation de l’opinion publique
formeraient le projet et le schéma que le gouvernement US utiliserait pour le
siècle prochain, afin de réussir à tromper le public Américain sur ses propres
motivations, et leurs actes, dans plus d’une centaine d’aventures militaires,
et pour aveugler tout à chacun sur les résultats tragiques de la politique
étrangère de l’Amérique.
Et dans tout cela, Lippman et Bernays ne travaillaient
pas de façon indépendante, sans recommandations. Bien avant leurs efforts
massifs pour entrer dans la première guerre mondiale, ils avaient mis en
œuvre des tests pilotes au Royaume Unis, utilisant les journaux Britanniques
appartenant aux Rothschild et d’autres juifs pour déterminer l’efficacité de
leurs méthodes. Leur projet pour organiser massivement l’ingénierie de
l’opinion publique commença par la réalisation de la propagande à Wellington
House à Londres, tout au début du siècle avec Lord Northcliffe et Rothmere,
Arnold Toynbee et bien sûr nos deux génies du marketing de la guerre, Lippman
et Bernays. [37] [38] [39] [40]
C’est
de cette source que le schema naquit pour forcer les banques privées des
Rothschild par la FED et le congrès US, bien formés par Lippman et Bernays sur
les méthodes, pour forger l’opinion publique Américaine, et faire entrer
celle-ci dans la première guerre mondiale, et promouvoir le sionisme. Le
livre de Bernays « propagande » apporte un éclairage sur cette
formation, pas seulement dans le marketing de guerre mais aussi sur la
pathologie de la consommation Américaine pour les véhicules automobiles, et
l’hystérie du patriotisme et bien plus.
Finalement Wellington House, se transforma en Institut
Tavinstock [41] qui a été créée par l’université d’Oxford de
Londres, les fondateurs du Royal Institute of International Affairs et the
Round Table, essentiellement comme un lieu de lavage de cerveau massif en
débutant comme officine de guerre psychologique. C’était les recherches de
l’Institut Tavinstock sur le conditionnement psychologique qui avait été
utilisées pour créer et ensuite exploiter une grande hystérie de masse durant
la guerre froide, évoquant les délires d’un conflit nucléaire avec l’Union
soviétique, qui a conduit des millions d’Américains à construire des abris
anti-nucléaires au fond de leurs jardins. Dans la biographie de Tye sur Bernays
il écrit ; « il est impossible de saisir fondamentalement les
évolutions sociales, politiques, économiques et culturelles de ces 100
dernières années sans une certaine compréhension de Bernays et de ses héritiers
professionnels ».
Les investissements provenaient du Royaume-Unis par la
Famille Royale, les Rothschild, et les Rockefeller puis finalement incluaient
la formation des relations Transatlantiques. A différentes périodes, les membres de l’Institut
Tavinstock, le Royal Institute of International Affairs, La Round Table
des Rothschild, le Council on Foreign Relations, le Club de Rome, le
Stanford Research Institute, la Commission Trilatérale et l’OTAN, étaient
interchangeables. Ils ont également créée l’idéologie pour des fondations
Américaines majeures comme la Rockefeller & Carnegie qui ont aujourd’hui un
rôle discret mais néanmoins important dans la gestion démographique des
populations.
Beaucoup de sales affaires émergèrent de ces nids de
vipères, berceau d’adorateurs de Satan, l’un étant l’officine des guerres
psychologiques Britannique d’où est né le projet de destruction de l’Allemagne,
non pas en attaquant l’armée mais par le génocide virtuel de la population. Il
semble que les banquiers internationaux étaient propriétaires des usines de
munitions et d’autres actifs de valeur militaire ciblées par les deux côtés, et
voulaient que leurs propriétés soient conservées dans de bonnes conditions en
dépit de la guerre. La solution
juive recommandée à Churchill était le bombardement jusqu’à saturation de la
population civile pour l’effondrement moral du peuple Allemand.
Ces « sociologues scientifiques » ont
déterminé que la destruction de 65 % des habitations en Allemagne incluant
occasionnellement leurs occupants, devrait être suffisante pour accomplir ce
type d’effondrement. C’était l’origine du célèbre héro de l’aviation
Britannique « Harris la bombe » qui effectuait ses raids la nuit
-toujours de nuit- atteignant son point culminant avec les raids incendiaires
de Dresde. L’explication des bombardements de nuit est
habituellement évoquée pour des raisons de sécurité des équipages de
bombardiers, mais sa mission était principalement de provoquer encore plus de
terreur parmi les populations civiles. Harris lui-même, a témoigné que sa
directive n’avait pas de fins spécifiques, mais plutôt « de dynamiter
entièrement les villes Allemandes ». Les régions des habitations des
classes ouvrières étaient ciblées parce qu’elles avaient une plus grande
densité de population, et que les explosions incendiaires y seraient plus
propices.
Cela
perturberait la main d’œuvre Allemande, et sa capacité de produire des
équipements pour sa défense. Harris a délibérément répandu
sauvagement des massacres de civils Allemands et ceux des Américains étaient
aussi tenu secrets du public, et cela n’apparait nulle part dans les livres
d’histoire jusqu’au moindre détail, ou à qui souhaite faire une estimation
précise des dommages civils. C’était le plan US que suivait le Gal Curtis
Lemay, avec le même schéma de bombardement de nuits en basse altitude,
pour tenter d’exterminer les populations du Japon et de la Corée. [42]
Tout
ce que nous avons lu ci dessus, sur le marketing de la guerre durant la
préparation des deux guerres mondiales, provient d’un modèle créée par Lippman
et Bernays pour soutenir exclusivement la création d’un état juif en Palestine,
et promouvoir l’agenda du Sionisme.
Ce
modèle a été utilisé constamment par le gouvernement US (comme l’armée privée
des banquiers) depuis la deuxième guerre mondiale, avec l’ingénierie
sociale du consentement et de l’ignorance sur les populations américaines
et occidentales, afin de masquer presque soixante dix ans
d’atrocités, en diabolisant des pays innocents et des peuples, en préparation
des révolutions colorées des années 60 et 70 inspirées politiquement par
« des guerres de libération » combattues exclusivement pour le profit
financier et politique, d’une poignée de banquiers Européens, utilisant l’armée
Américaine comme une milice privée à cette fin, résultant en milliers de
millions de morts, et la misère de centaines de millions de civils innocents.
Bernays
porte la responsabilité pour plus que cela, avec les Américains qui
entraient dans les deux guerres, en étant l’instrument, préparant la voie de la
cannibalisation de l’Amérique, et la colonisation de l’armée du monde entier
puis pour les installations Américaines et le soutien de douzaines de projets
de dictatures militaires autour du monde. Son premier projet international a
été d’aider à détrôner le gouvernement populaire de Jacobo Arbenz au Guatemala.
A l’époque, la société des Rockefeller United Fruits Company et d’autres
élites américaines, leurs investisseurs internationaux étaient propriétaires de
70 % des terres arables du Guatemala, des réseaux de communication de
l’unique compagnie ferroviaire ainsi que le port de commerce, y compris la
plupart des exportations.
Lorsque
Arbenz a commencé à effectuer des expropriations et la redistribution de
terres, Bernays a développé une propagande massive qui a abouti à labéliser
Arbenz comme communiste, terroriste, un ennemi de la démocratie, une tache pour
l’humanité et bien plus, jusqu’à ce que l’opinion publique Américaine soutienne
cette perversité outrageuse, une de plus dans les violations des Droits de
L’Homme dans l’histoire Américaine. Le modèle de Bernays a été utilisé environ
70 fois avec l’invasion de nombreuses nations, qui sont à l’origine d’une vaste
déconnection du réel entre ce que le peuple Américain croit de son
gouvernement, et ce qu’il a fait en réalité. Commentaire mis à part, le
Guatemala a appelé les Nations Unies à faire cesser les interventions massives
des Américains dans leur pays, une requête qui a été systématiquement reçue par
le secrétaire général de l’ONU Dag Hammarskjöld qui posait des problèmes aux
américains. Il l’a fait à nouveau quelques années plus tard, et a été assassiné
par la CIA pour cet incident. (Lequel a disparu dans un crash d’avion en
Afrique)
Petit
Résumé
Beaucoup
d’entre nous, ont vu des histories sur les soldats Allemands embrochant des
bébés à la baïonnette, de tirs à la mitraillette de parachutistes, de récits de
pointes avec des globes oculaires recueillies par les Nazis, d’Allemands
frappant la poitrine de chaque femme qu’ils croisaient, qui mangent des bébés,
le retour des cadavres de civils massacrés pour leur graisse, la glycérine pour
fabriquer des armes. Après la guerre, Bernays a ouvertement avoué qu’il a
utilisé ces atrocités toutes fabriquées pour provoquer la haine contre
l’Allemagne, et dans les deux guerres mondiales, aucune preuve n’a jamais été
retrouvée pour confirmer ces accusations outrageuses.
Nous
pouvons nous rappeler aisément de la diabolisation de l’Irak par George W
Bush, avec les récits sordides de massacres de masse, le gazage de centaines de
milliers, l’enterrement dans les fosses communes, le lancement d’armes
nucléaires prêtes en 15 minutes, la responsabilité du 11 septembre, les bébés
jetés en dehors des couveuses, Saddam utilisant des déchiqueteuses à bois pour
éliminer des opposants politiques et des dissidents etc. Nous pouvons nous
rappeler des histoires sur le Viagra Libyen, toutes démontrant que ce furent
des histoires toutes fabriquées sans fondements -typique de la propagande sur
les atrocités. Le Vietnam, l’Afghanistan, la Syrie, l’Iran, et une
douzaine d’autres guerres et d’invasions suivies par le même modèle pour que
l’esprit du public soit forgé d’un côté pour une guerre injustifiée, lancée
dans un objectif politique et commercial.
Plus
loin en 2020
Nous
en sommes au même point aujourd’hui avec les mêmes personnes conduisant des
campagnes de colère contre la Chine en préparation de la troisième guerre
mondiale. John Pilger est
d’accord avec moi et
l’évidence est dans cet article récent, « un autre Hiroshima est en train
d’arriver » [43] et Gordon Duff aussi. [44] Les indicateurs sont maintenant partout et la
campagne est réussie. Il faut souligner la nécessité « d’une
campagne de colère » comparée à une campagne de haine. Nous ne sommes pas
poussés à l’action par la haine, mais par la colère. Je peux te mépriser,
mais en soit cela ne servirait à rien. C’est seulement, si je passe par la
colère, que je veux te crever la gueule. Et çà, comme Lippman et Bernays l’ont
bien fait remarquer, cela nécessite une propagande d’atrocités chargée
d’émotions, celles du genre si bien organisées contre les Allemands et bien
utilisées actuellement contre la Chine aujourd’hui. Dès lors que nous avons
besoin d’une propagande d’atrocités pour démarrer une guerre, il semblerait
qu’il n’y ait pas de rupture.
Aujourd’hui
la Chine comprend « des millions d’ouighours du Xinjiang, qui sont
torturés dans des centaines de camps de concentration »,[45] par
une campagne de répression[46],
avec de nos jours, l’obligatoire « stérilisation forcée » de
millions.[47]
Mais ce n’est pas si mauvais, parce que « tous les juifs Américains
veulent aider à arrêter ce génocide ».[48]
– De plus, le « parti communiste » a détruit des « centaines de
cimetières ouighours »,[49] et
ne viole pas seulement tous les Droits de l’Homme imaginables, mais a interdit
la religion.[50]
La
plupart des lecteurs savent que la Chine a ordonné la fermeture du consulat
Américain de Chengdu à Houston, mais peu sont au courant que cela constituait
un autre “Holocauste” mis en évidence par la femme de Jim Mullinax, le consul
général de Chengdu, se demandant dans le monde, “si les juifs étaient comme
nous, lorsqu’ils ont quitté leurs maisons, pour se cacher des Nazis avant la
deuxième guerre mondiale.”[51]
Et puis il y a Huawei, l’unique entité
d’espionnage mondiale la plus dangereuse, qui est sans aucun doute
responsable « Pékin essayant de voler » le vaccin
COVID-19 » mais, dans d’autres informations urgentes, est en train « d’essayer
de tout voler ». Non seulement ça, mais la Chine a récemment effectuée
une cyber attaque du Vatican, et voici pourquoi ils l’ont fait. [52]
Tout
le monde sait que les nouvelles mesures de sécurité à Hong Kong
symbolisent « sonner le glas de la liberté et de la
démocratie à Hong Kong ». Nous avons beaucoup lu sur la Chine, « menaçant
l’arrivée des militaires » dans son propre fief en Chine, mais il y a
ceux qui ne savent pas que la Chine présente les forces aériennes Japonaises
avec le « fardeau sans repos » de 947 incursions (comptez les)
« dans l’espace aérien Japonais, dans le dernier exercice fiscal finissant
en Mars ».[53][54] Je ne
savais pas que les provocations, d’incursions militaires s’effectuaient lors
d’un exercice fiscal annuel mais peut-être que les choses sont différentes au
Japon.
Et
puis, Mr Pompéo nous dit, « La vérité c’est que nos décisions
politiques ont fait ressurgir l’échec de l’économie Chinoise, démontrant que
Pékin mange dans la main de ceux qui les nourrissent à l’international », [55] d’autant
plus que le (COVID 19) en Chine « a provoqué d’énormes souffrances, des
pertes de vies », et que « le parti Communiste devra en payer le
prix ».[56] .
Bien sur nous savons tous que la Chine a volé le virus COVID 19 d’un
laboratoire biologique de Winnipeg, au Canada, puis l’a répandu dans le monde –
et Pompeo en a la preuve [57],
et même qu’ « une virologue Chinoise a la preuve » que c’est
« la Chine » qui a organisé une énorme censure pendant qu’elle
contaminait le monde entier , et [58]
« fuyant à Hong Kong » parce que « je sais comment ils traitent
les lanceurs d’alerte » [59] .
Et bien sûr, « la Chine
doit être tenue pour responsable et rendre des comptes sur les destructions dues
au COVID 19 », [60] raison pour laquelle tout le monde aux USA veut
poursuivre, « la Chine ». « L’Australie » exige une investigation
criminelle internationale pour le rôle qu’a joué la Chine dans le COVID
19. [61]
Quelle surprise.
Et
bien sûr nous avons de graves provocations illimitées de Hong Kong,
du Tibet, du Xinjiang, de Taiwan, de la mer de Chine méridionale, des consulats
Chinois, des reporters des medias, des étudiants chercheurs, des restrictions
de visa, de l’espionnage, Huawei, la guerre commerciale, tout cela en espérant
que les dirigeants chinois paniquent et réagissent de façon exagérée, donc plus
facile pour justifier une nouvelle guerre.
La
liste pourrait continuer avec des centaines de pages. Je n’ai jamais vu de ma
vie, autant de propagande de haine continuelle contre une nation, certainement
qu’elle équivaut à celle décrite contre l’Allemagne ci-dessus pour préparer
l’entrée des US dans la première guerre mondiale. Et cela fonctionne, c’est
justement l’intention. Le Canada, l’Australie, le Royaume Uni, l’Allemagne,
l’Inde, le Brésil, sont en train de fournir la peur de la guerre contre la
Chine. Bien plus à suivre. Le Global Times a rapporté “une confiance mutuelle
entre l’Australie et la Chine, au plus bas”. [62]
Les T-shirts, et les casquettes “Boycott la Chine”
inondent l’Inde, Huawei est en train de connaitre un boycott croissant
des nations occidentales, les réseaux sociaux Chinois et les applications comme
Tik Tok sont boycottés et Bryan Adams a récemment censuré tout ce qui
est chinois parce qu’« ils mangent les chauves souris, leurs marchés
flottant d’animaux, les mises au point de virus, leur cupidité de bâtard».[63][64] Dans
un récent sondage (pris parce que nous avons besoin de mesurer la réussite de
notre travail tout comme Bernays et l’Institut Tavistock l’ont fait et comme
indiqué auparavant) la moitié de toutes les ethnies Chinoises au Canada
ont été menacées et harcelées à cause du COVID19.
Environ
45 % des Chinois au Canada ont été menacés et intimidés d’une façon ou d’une
autre, et 50 % ont dit avoir été récemment insultés en public, 30 % ont dit
qu’ils en ont fait l’expérience…. « une sorte d’altercation
physique » et 60 % ont dit que « les abus ont été si durs qu’ils ont
du réorganiser leur activités quotidiennes pour l’éviter » Une femme de la
soixantaine a dit qu’un homme et leur fille lui ont rétorqué « chaque
jour, je prie que vous autres, meurent ». [65]
Cette
cible systématique et délibérée de la Chine et des Chinois (par les medias
juifs, je suis désolé de le dire) a provoqué plus de 700 %
d’augmentation de crimes haineux contre les chinois, et le Canada n’est pas
le seul à faire l’expérience de ce phénomène. Ce n’est pas mieux aux US, au
Royaume Unis, en Australie, et la plupart des pays Européens. Il semblerait que
les lois contre les discours haineux sont pour le seul bénéfice des Juifs, certainement
pas les chinois. Lippmann et Bernays en seraient fiers.
Il y
a quelques années, CNN a été poursuivi par l’un de ces commentateurs
d’informations pour lui avoir ordonné de mentir lors des diffusions. CNN a
gagné le procès. Ils n’ont pas nié avoir ordonné au commentateur de mentir.
Leur défense a été basée tout simplement sur la posture selon laquelle les
médias Américains « n’ont pas d’obligation de raconter la
vérité ». Et RT a récemment affirmé que seulement 9 américains
sur 10 voient des incohérences évaluées entre « moyennes
et élevées » dans toutes les informations médiatiques [65][66] et
pourtant, comme nous pouvons le constater, la plupart de ces mêmes personnes,
et une grande partie de la population de nombreuses nations succombent
à la même propagande de haine.
J’ajouterai
quatre points pour finir cet essai.
(1)
Il n’y a aucune raison d’échapper à la conclusion selon laquelle
l’histoire se répète, diabolisant délibérément une nouvelle nation engendrant
suffisamment de haine et de colère pour justifier une autre guerre mondiale.
(2)
pendant que la dynamique qui justifie cela vient certainement des
US, les Américains ne sont pas entièrement responsables parce qu’ils suivent
justement les ordres. Les racines de tout cela proviennent certainement de
l’Europe parmi la cabale internationale de juifs et de sionistes, avec les
Américains une fois encore jouant à « l’Armée Privée des Banquiers ».
Notre Nouveau Gouvernement Mondial ne peut pas manifester son existence sans la
destruction conjointe de la Chine et de la Russie (et l’Iran) mais la Chine est
le premier obstacle et doit être éliminé. Dans la 3ème guerre
Mondiale, la Chine et la Russie seront du même côté, avec de la chance, les
deux seront détruit d’un coup. C’est
le plan. Votre croyance à cela, n’est pas constitutive de son exécution.
(3) Les Juifs internationaux, ont quelques raisons
(dans leur tête) d’en vouloir à la Chine. La première : l’intention était
que la Chine devait être démembrée et servir comme vache à lait perpétuelle, un
projet frustré par Mao et sa révolution. Chacun sait que les Juifs
ont été expulsés de nombreux pays maintes fois durant des millénaires, mais
personne ne semble prendre conscience que ces deux expulsions ont eu lieu
relativement récemment, une du Japon juste avant la deuxième Guerre Mondiale
(la source de l’immense ghetto juif à Shanghai, pas des fugitifs d’Hitler tel
que le mythe l’indique), et la seconde de la Chine. Ce n’était pas « les
Britanniques » mais les familles bancaires internationales Juives, les
Rothschild, Sassons, Kadoories, et d’autres qui étaient entièrement
responsables des 150 ans d’une longue parodie de l’Opium. Je n’irais pas dans
les détails ici, mais juste après la deuxième guerre mondiale, le premier acte
de Mao a été d’expulser tous les Juifs de chine et de saisir tous leurs actifs
de l’Opium – y compris toute la ville de Shanghai et des succursales
continentales de HSBC. Ils
n’ont pas oublié, et ils veulent récupérer leur argent.
(4) vue la source des va-t-en guerre pour la troisième
guerre mondiale et de la planification de destruction de la Chine, on peut
considérer que, nous pouvons prévenir un troisième Holocauste mondial. Sachant
les sources, il n’est guère pratique de déclarer une guerre à quelques milliers
de personnes éparpillées parmi dix nations. Je ne connais qu’une seule
façon d’éviter la Troisième Guerre mondiale qui est dorénavant imminente :
Faire payer Israël pour cela. Si dans la décision finale d’autorité je devais
appeler l’ambassadeur d’Israël et l’informer que si mon pays était poussé à
entrer en guerre avec les US, mon premier acte de représailles ne serait pas
contre les US mais contre Israël, et j’utiliserais une partie de mon arsenal
nucléaire nécessaire pour y arriver. C’est ma thèse que l’état d’Israël est
trop important pour ces gens là que d’être sacrifiés, et que face à ce type de
menace crédible, ils se rendraient. Avec tout ce que je sais, je ne crois pas
que la troisième guerre mondiale puisse être évitée autrement.
*
Larry Romanoff est un consultant en gestion et un entrepreneur
à la retraite. Il a occupé des postes de cadre supérieur
dans des sociétés de conseil internationales et a été propriétaire d’une
entreprise internationale d’import/export. Il a été professeur invité à
l’université Fudan de Shanghai, où il a présenté des études de cas sur les
affaires internationales aux classes supérieures de l’EMBA. M. Romanoff vit à
Shanghai et écrit actuellement une série de dix livres généralement liés à la
Chine et à l’Occident. Ses écrits ont été traduits dans plus de 20 langues et
sont disponibles sur plus de 100 sites Web en langues étrangères à travers le
monde, et il est l’un des auteurs contributeurs de la nouvelle anthologie
COVID-19 de Cynthia McKinney “ When China Sneezes ”. Il peut être contacté à:
2186604556@qq.com.
00
Notes
[1] https://hofs.online/david-irving-churchills-war/
[3] https://thegreateststorynevertold.tv/the-war-criminal-churchill/
[4] https://research.calvin.edu/german-propaganda-archive/schul05.htm
[5] “Germany is getting too strong. We’ve got to
smash her.” – discours de Winston Churchill durant un déjeuner privé en 1936.
Reminiscenses in 1961 of General Robert E. Wood. World War II. By Carl J.
Schneider, Dorothy Schneider. Page 15. https://epdf.pub/world-war-iiba3861990de341cde6cbf5d7f05c8af383518.html
[6] “We will force this war upon Hitler, if he
wantsit or not.” – Winston Churchill (1936 broadcast). “This war is an English
warand its goal is the destruction of Germany.” – Winston Churchill (Autumn
1939broadcast)
[7] “You must understand that this war
is notagainst Hitler or National Socialism, but against the strength of the
Germanpeople, which is to be smashed once and for all, regardless of whether it
is inthe hands of Hitler of a Jesuit priest.” – Winston Churchill [1940];
EmrysHughes, Winston Churchill, His Career in War and Peace p. 45); This book was published in Great Britain in 1950
under the title “Winston Churchill in war and peace.” The American version
titled “Winston Churchill: British bulldog :
his career in war and peace”, was published in 1955 and was an edited version with selected quotations
removed.
[8] http://www.bbc.com/culture/story/20161021-the-psychological-tricks-used-to-help-win-world-war-two
[9]https://library.brown.edu/create/fivecenturiesofchange/chapters/chapter-7/student-movement/
[10] https://www.amazon.com/Engineering-Consent-Edward-L-Bernays/dp/B0007DOM5E
[11] http://classes.dma.ucla.edu/Fall07/28/Engineering_of_consent.pdf
[12] https://www.goodreads.com/quotes/203430-the-conscious-and-intelligent-manipulation-of-the-organized-habits-and
[13] https://www.amazon.com/Propaganda-Edward-Bernays/dp/0970312598
[14] https://famguardian.org/Subjects/Scams/FDR/fdr.htm
[15] https://www.chroniclesmagazine.org/article/wikileaks-1941/
[16] https://mises.org/library/roosevelt-nobody-knows
[17]http://www.rationalrevolution.net/war/condition_of_modern_american_soc.htm
[18]http://www.rationalrevolution.net/war/condition_of_modern_american_soc.htm
[19] https://www.history.com/topics/middle-east/balfour-declaration
[20] https://publicdiplomacy.wikia.org/wiki/Creel_Committee
[21] https://www.ebooks.com/en-us/book/712398/media-control/noam-chomsky/
[22] https://www.amazon.com/Public-Opinion-Original-Walter-Lippmann/dp/1947844563
[23]https://wps.pearsoncustom.com/wps/media/objects/2429/2487430/pdfs/lippmann.pdf
[24] http://www.revisionist.net/hysteria/cpi-propaganda.html
[25] http://www.revisionist.net/hysteria/cpi-propaganda.html
[26] https://net.lib.byu.edu/~rdh7/wwi/comment/bryce.html
[27] https://www.ataa.org/armenian-issue-revisited/the-bryce-report-british-propaganda-and-the-turks
[28] http://historymatters.gmu.edu/d/5052.html
Committee on Public Information, Bureau of Cartoons,
Bulletin No. 16, September 28, 1919, 1–2.
[29] http://historymatters.gmu.edu/d/4970/
Four Minute Men – Volunteer Speeches During World War
I. Reprinted in Alfred Cornbise, War As Advertised: The Four Minute Men and
America’s Crusade, 1917–1918 (Philadelphia: American Philosophical Society,
1984).
News Headlines on Four-Minute Men:
• Yiddish-Speaking Four Minute Men Reach Jewish
Section of New York
• Organized Under Rabbi Robinson to Carry Government
Messages Into Jewish Theaters and Playhouses
• Now Planning to Send Yiddish Speakers Into Shops
where Jewish People Are Largely Employed
• The New York City division of Four Minute Men carry
on very effective work among the large Jewish population of that city.
Mr. Joseph B. Thomas, former local chairman of Four
Minute Men in New York City, wrote as follows:
“The work is organized under the direction of Rabbi A.
G. Robinson, executive director of the Young Men’s Hebrew Association. At the
present time the Jewish section is operating in 30 theaters, sending speakers
to each twice a week. Among these are all the large Jewish playhouses of the
city, each one of which has an average attendance of 2,000 at a performance. In
this way we are reaching about 25,000 people per week. We expect soon to have
every Jewish audience in a motion-picture house or a Jewish playhouse addressed
by a Jewish playhouse addressed by a Jewish speaker. Both Yiddish and English
are used in accordance with the character of the audience. The directors of
several Young Men’s Hebrew Associations in Greater New York are enlisted as
‘Four Minute Speakers,’ and also address their members occasionally on the
subjects assigned from Washington. We are now planning to send Yiddish speakers
into the various shops of the city where Jewish help is most largely employed.
We are also arranging to reach the thousand or more synagogues of the city
where Yiddish is best understood. The speakers are introduced in the
motion-picture theaters by slides bearing the usual announcement, printed in
Yiddish.”
légendes:
[30] http://www.revisionist.net/hysteria/cpi-propaganda.html
[31] https://www.history.com/this-day-in-history/u-s-congress-passes-sedition-act
[32] https://www.history.com/this-day-in-history/u-s-congress-passes-espionage-act
[33] https://www.nationalists.org/library/hitler/daily-express/judea-declares-war-on-germany.html
[34] https://vimeo.com/49275330
[35]https://archive.org/stream/JewsDeclareWarOnGermany1933/JewsDeclareWarOnGermany1933_djvu.txt
[36]https://www.wintersonnenwende.com/scriptorium/english/archives/articles/jdecwar.html
[37] https://www.cambridge.org/core/journals/historical-journal/article/wellington-house-and-british-propaganda-during-the-first-world-war1/0E3BEB8F4CC3EAD3D1B415D4E6A832F4
[38] https://www.bbc.co.uk/programmes/p032m651
[39] https://military.wikia.org/wiki/Wellington_House
[40] http://britishdeepstate.net/propaganda-bureau-british-deep-state-wellington-house/
[41] https://thebridgelifeinthemix.info/in-profile/in-profile-the-tavistock-institute-of-human-relations-and-the-destruction-of-the-west/
[42] https://www.unz.com/lromanoff/japan-ending-a-war-and-saving-lives/
[43] https://www.rt.com/op-ed/497096-john-pilger-hiroshima-china-us/
[44] https://journal-neo.org/2020/08/04/trump-s-secret-war-plan-for-the-south-china-sea/
[45] https://edition.cnn.com/2018/08/13/asia/china-xinjiang-uyghur-united-nations-intl/index.html
[46] https://www.scmp.com/news/china/article/3095618/us-sanctions-chinese-entity-individuals-over-xinjiang-repression
[47] https://news.yahoo.com/china-forcibly-sterilises-uighurs-control-population-report-195121873.html
[48] https://forward.com/opinion/452047/want-to-do-something-to-prevent-genocide-in-xinjiang-here-are-some/
[49] https://edition.cnn.com/2020/01/02/asia/xinjiang-uyghur-graveyards-china-intl-hnk/index.html
[50]https://lite.cnn.com/en/article/h_ccd01a5d63b9699a83409e2c4729bf0f
[51] https://www.globaltimes.cn/content/1195688.shtml
[52] https://edition.cnn.com/2020/07/29/world/vatican-china-hacking-burke/index.html
[53] https://edition.cnn.com/2020/07/28/asia/japan-china-fighter-jet-scrambles-intl-hnk-dst/index.html
[54] https://www.globaltimes.cn/content/1195688.shtml
[55] https://edition.cnn.com/2020/07/26/asia/chengdu-us-consulate-china-closure-intl-hnk/index.html
[56] https://edition.cnn.com/world/live-news/coronavirus-pandemic-04-24-20-intl/h_05246e4e5b879b16869e4a7c47702cfe
[57] https://edition.cnn.com/2020/07/18/politics/state-department-cable-coronavirus-chinese-lab/index.html
[58] https://www.foxnews.com/world/chinese-virologist-coronavirus-cover-up-flee-hong-kong-whistleblower.amp.
[59] https://www.foxnews.com/world/chinese-virologist-coronavirus-cover-up-flee-hong-kong-whistleblower
[60] https://www.cnn.com/2020/06/20/opinions/china-needs-to-be-held-accountable-for-covid-19s-destruction/index.html
[61] https://www.foxnews.com/politics/australia-joins-us-china-coronavirus-pandemic
[62] https://www.globaltimes.cn/content/1192669.shtml
[63] https://www.theguardian.com/music/2020/may/12/bryan-adams-attacks-china-coronavirus
[64] https://www.thesun.co.uk/tvandshowbiz/11603551/bryan-adams-lets-rip-china-bat-eating-greedy-coronavirus/
[65] https://sputniknews.com/society/202006251079720558-half-of-ethnic-chinese-in-canada-threatened-and-harassed-over-coronavirus-new-poll-shows/
[66] https://www.rt.com/usa/497117-mainstream-media-bias-poll/
Larry Romanoff est l'un des auteurs contributeurs de la nouvelle anthologie COVID-19 de Cynthia McKinney `` When China Sneezes ''. Il peut être contacté à: 2186604556@qq.com.
Traduction française
Isabelle et Patrick T
Copyright © Larry Romanoff, Moon of Shanghai,
2020
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