Les secrets les plus
sales des États-Unis
Par
Larry Romanoff (12 février 2023)
mis
à jour le 20 février 2023
Traduit par Association
Entre la plume et l'enclume
Le président américain Barack Obama
s'exprime sur les relations entre les États-Unis, Israël et le Moyen-Orient au
Convention Center de Jérusalem, le 21 mars 2013, au deuxième jour de son voyage
de 3 jours en Israël et dans les territoires palestiniens. PHOTO AFP / SAUL LOEB
CHINESE ENGLISH FRENCH ROMANIAN POLSKI
Cet essai que j’intitule “les secrets les
plus sales des États-Unis”, est le chapitre d’introduction d’une nouvelle série
de livres électroniques qui seront très bientôt publiés sur http://bluemoonofshanghai.com.
Contenus
·
o
L’origine de mes recherches historiques
·
o
La “guerre juive de l’opium”
o
La vengeance contre l’Allemagne
§
Bernard Baruch et la vengeance contre le Japon
o Le “front gentil” et
les secrets juifs
§
Le marketing de guerre de Bernays
§
Comment faire disparaître des évènements
o
Pourquoi on ne parvient pas à admettre la vérité
§
Le dépeuplement de l’Ile de Pâques
§
La bulle spéculative des tulipes
o
Les 50 pages vierges de l’Histoire
o Retour sur l’Allemagne
et le Japon
L’origine de mes recherches historiques
Lorsque j’ai commencé à faire des
recherches historiques sérieuses à Shanghai il y a peut-être 20 ans, mon
intérêt était principalement motivé par deux choses : la première était
l’incessante propagande américaine qui inondait le monde, et en particulier la
Chine, sur un ton de supériorité morale totalement injustifié qui masquait tous
les crimes et atrocités commis par les Américains au cours des siècles. La
seconde était le flot irritant de propagande négative sur la Chine, qui
remplissait la presse écrite et les ondes, sur l’infériorité, le plus souvent
imaginaire, de la Chine par rapport aux exceptionnels Américains. À partir de
là, j’avais l’intention d’écrire une série d’articles, et peut-être un livre ou
deux, qui éclaireraient le côté opposé de ces deux images. C’est une
simplification excessive, mais mes intérêts de recherche et d’écriture se
limitaient à une tentative de rectifier le récit standard de “la Chine
mauvaise ; les États-Unis bons”.
Mais vers le début de cette entreprise, je
suis tombé sur une déclaration qui disait : “L’histoire du monde est
l’histoire des Juifs”. Cette remarque m’a marqué et est restée dans ma
mémoire parce qu’elle m’a fait sursauter et parce qu’elle n’avait aucun sens
pour moi à ce moment-là. Cependant, au fur et à mesure que j’avançais dans mes
recherches sur ce qui relevait des rapports entre réalisations chinoises et
américaines, je rencontrais occasionnellement des références aux Juifs ;
mais comme, à l’époque, je n’avais absolument aucun intérêt pour les Juifs,
j’ai commencé par effacer ces références. Dans mon esprit,
j’avais une histoire claire que je poursuivais et ces références de plus en
plus occasionnelles aux Juifs contaminaient mon histoire et embrouillaient mon
approche. Mais finalement, j’ai été
amené à réaliser que les références aux Juifs ne relevaient pas de la
contamination, mais qu’elles constituaient en fait la véritable trame de l’histoire.
La “guerre juive de l’opium”
Par exemple, j’effectuais des recherches
sur la duperie autour de l’opium infligée à la Chine
par – comme on nous l’a appris – “les Anglais”. Mais en me plongeant
plus profondément dans les archives historiques, j’ai été surpris de découvrir
que “les Anglais” n’avaient rien à voir avec l’opium (sauf en tant
qu’exécuteurs militaires) et que tout le paysage de l’opium était à 100 %
juif, les acteurs principaux étant les Rothschild et les Sassoon, avec les Kadoorie
et quelques autres familles. Ces familles ont peut-être détenu des passeports
britanniques, mais elles étaient toutes juives et non “anglaises”. C’est également le cas de la banque HSBC,
qui a été créée uniquement pour blanchir l’argent de la drogue des Juifs – un
talent dans lequel elle se spécialise encore aujourd’hui. Le même schéma
semblait évoluer dans le même sens sur presque tous les sujets historiques sur
lesquels je choisissais d’enquêter. Comme nous l’avons tous été, si j’en crois
ma propre formation, endoctrinés, propagandisés et intimidés pour me faire
croire que la révolution russe était vraiment russe, j’ai été très surpris
d’apprendre qu’elle était à 99,9 % juive et
que les “Russes” n’avaient pas grand-chose à voir avec elle, sauf en tant que
victimes. De même, on m’a appris
que les deux guerres mondiales avaient été provoquées par l’Allemagne et que la
vaillante petite Angleterre avait triomphé d’un ennemi diabolique, et j’ai été à nouveau surpris d’apprendre
que ce sont les Juifs européens qui avaient fait de grands efforts pour
provoquer les deux guerres mondiales, qu’en fait l’Allemagne avait résisté à la
guerre jusqu’à la fin et qu’elle avait été victime d’une campagne de haine
massive menée par les Juifs qui voulaient la détruire.
Autres guerres juives
Dans un essai précédent, je terminais par
ces mots :
Les guerres des Boers étaient une histoire
britannique, mais le manuscrit en avait été entièrement rédigé de la main des
Juifs. De la même manière, les deux guerres mondiales, la Compagnie britannique
des Indes orientales, les pillages, famines et massacres inadmissibles de
l’Inde, et le siècle de l’opium en Chine, avec ses vastes atrocités de
massacre, de misère et de trafic d’esclaves, étaient des “histoires
britanniques”, mais les manuscrits racontant ces histoires ont également été
entièrement écrits par des Juifs. De même, les histoires de la Yougoslavie, de
la Grèce, de l’Irak, de la Libye et de la Syrie d’aujourd’hui sont des
“histoires américaines”, mais elles ont également été entièrement écrites
par des Juifs.
Voici
où nous en sommes aujourd’hui. Ces plusieurs volumes que je projette de publier
prochainement devaient à l’origine être intitulés “America’s Dirtiest Secrets”,
(Les secrets les plus sales de l’Amérique) mais ce titre ne s’applique plus
strictement, car il n’y a aucun moyen raisonnable de séparer les actions des
Américains de celles de leurs maîtres juifs qui donnent les ordres. Par exemple, nous connaissons les histoires
des médias sur la prise de contrôle de l’Irak par les États-Unis et nous
croyons que cela a été fait pour éliminer un dictateur. Mais notre perception
est sévèrement altérée lorsque nous apprenons que l’invasion a été faite
entièrement sur ordre des juifs, que le soi-disant “président provisoire” de
l’Irak – Paul Bremer – était
juif et recevait tous ses ordres des juifs de la City de Londres, et qu’en outre ces banquiers juifs ont
confisqué tous les biens de l’Irak et s’emparent – gratuitement – de plus des
2/3 du pétrole irakien encore aujourd’hui. De même, on nous a appris que ce
sont les militaires britanniques (avec un peu d’aide française) qui avaient
pillé les 10 millions d’objets inestimables du Palais d’été de la Chine (le
Yuanmingyuan) et l’ont ensuite complètement détruit. Mais là encore, notre
perception change lorsque nous apprenons que les Britanniques l’e faisaient
sous les ordres des juifs Rothschild et Sassoon, et qu’un grand nombre de ces
objets inestimables ont fini entre les mains des juifs et y sont encore
aujourd’hui.
La vengeance contre l’Allemagne
Le professeur Lindemann
(à gauche) lors d’une inspection avec Churchill, 1941
De la même manière, nous avons tous entendu
parler du célèbre aviateur britannique “Bomber Harris”, qui a acquis une
renommée éternelle en tapissant de bombes incendiaires des dizaines de villes
allemandes comme Dresde, créant des tempêtes de feu qui ont incinéré des
millions de civils allemands dans l’une des plus grandes atrocités de guerre du
monde. Mais là encore, notre perception est fortement modifiée lorsque nous
apprenons que c’est un Juif du nom de Frederick Lindemann, envoyé par
les Rothschild en tant que “conseiller” de Churchill, qui a apporté avec lui
l’idée de bombarder des civils en tapis avec des bombes incendiaires, et que
Churchill se bornait à obéir à ses maîtres juifs en exécutant ce programme pour
contribuer à la “destruction totale de l’Allemagne” que les Juifs souhaitaient.
Bernard Baruch et la vengeance contre le
Japon
De la même manière, on nous a appris que
les États-Unis ont largué les bombes atomiques sur le Japon pour accélérer la
fin de la guerre et “sauver des vies”. Mais là encore, nos conceptions sont
mises à mal lorsque nous apprenons que c’est un Juif, Bernard Baruch,
ostensiblement “l’homme le plus puissant d’Amérique” à l’époque, qui a
non seulement choisi le Japon comme cible de ces bombes, mais qui a également
sélectionné personnellement les villes à incinérer. Nos conceptions sont encore
plus remises en question lorsque nous apprenons que la motivation de Baruch
pourrait bien avoir été des représailles contre le Japon et Nagasaki pour leur expulsion de tous les Juifs avant la guerre.
(Voir les notes de fin d’article)
Louis Feiser et le napalm
Et en ce qui concerne l’Europe et surtout
le Vietnam, dans l’application du napalm pour incinérer les civils, ce sont
bien les Américains qui ont largement appliqué le napalm pendant la Seconde
Guerre mondiale, dans “des attaques incendiaires génocidaires vastes mais
chassées hors de l’histoire, tant en Europe que sur les villes japonaises,
ainsi que pendant les guerres de Corée et du Vietnam”. Mais c’est un chimiste
juif du nom de Louis Fieser qui avait mis au point le napalm dans un
laboratoire secret de l’université de Harvard en 1942, et les maîtres
juifs de l’Amérique qui avaient conçu son utilisation sur des civils. Pire
encore, au Vietnam, les habitants ont découvert qu’ils pouvaient échapper à
l’incinération en plongeant dans n’importe quel étendue ou récipient d’eau pour
éteindre les flammes. Mais c’est un autre Juif, toujours à Harvard, qui a alors
conçu l’infusion de phosphore blanc dans le napalm, qui ne peut être éteint une
fois allumé et qui brûle un homme jusqu’aux os, même sous l’eau. Dans tous les
cas, ce sont les Américains qui ont fait le sale boulot, mais ils ne
faisaient que “suivre les ordres” de leurs supérieurs juifs.
Et
nous nous rendons compte, comme pour tous les événements de ce genre dans le
passé, que l’armée américaine fonctionne, tout comme l’armée britannique le
faisait dans le passé, comme “l’armée privée des banquiers”. Et donc, en
termes réels, il n’y a aucun moyen raisonnable de séparer les actions – les “Secrets
les plus sales” des Américains – des “Secrets les plus sales” des Juifs
qui donnent aux Américains et aux Britanniques leurs ordres de marche. On ne saurait dissocier le chef de la mafia
de ses propres ordres exécutés par ses propres subordonnés.
Le “front gentil” et les secrets juifs
Ainsi,
alors que dans ces livres nous examinerons apparemment (et superficiellement)
les plus mauvais secrets de l’Amérique, il y aura dans presque tous les cas une
couche sous-jacente distincte d’influence et de contrôle juifs. Il est vrai que
nous verrons quelques occasions ou événements où les Américains ont semblé agir
indépendamment – comme dans le détournement d’Hawaï – sans aucune preuve
apparente d’implication juive, mais ils sont très rares. Ainsi, ce que nous
exposons et dont nous discutons réellement dans ces pages, ce sont les secrets
les plus sales des Juifs, et nous verrons que, dans pratiquement tous les cas,
les Juifs opèrent admirablement et très efficacement avec ce qu’ils appellent “un
Front Gentil”, avec un non-Juif apparemment en charge, mais avec une
équipe complète de Juifs à l’arrière-plan qui incitent, encouragent et
ordonnent aux Gentils d’exécuter leurs plans.
Le marketing de guerre de Bernays
L’un de ces exemples frappants que vous
lirez est celui de la commission Creel du président américain Wilson, qui avait
perpétré une campagne de propagande d’une intensité étonnante, destinée à créer
une “haine chauffée à blanc” envers les Allemands et à entraîner les
Américains dans une guerre mondiale dont personne ne voulait. Creel avait été
sélectionné par les manipulateurs juifs de Wilson, très probablement par le
soi-disant “colonel” House, qui était juif et dont le vrai nom était Huis,
mais ce sont les juifs Lippman et Bernays qui contrôlaient en
réalité l’ensemble de l’effort. Cette manipulation juive a été si efficace que
Creel est devenu le paratonnerre de toutes les réprobations historiques, tandis
que Bernays est célébré aujourd’hui comme “le père des relations publiques”
en Amérique. En fait, Bernays, le neveu de Sigmund Freud, était le
père du marketing de guerre, un modèle inventé et exécuté par certains
Juifs de la manière la plus méprisable qui soit.
Comment faire disparaître des évènements
Dans de nombreux cas, ces situations
incluent des événements historiques qui ont été si profondément enterrés par
les médias juifs et les industries juives de l’édition que pas une personne sur
un million n’a connaissance de leur existence. L’une de ces situations est
celle des atrocités incessantes et inadmissibles infligées à l’Allemagne et au
peuple allemand pendant – mais surtout après – les deux guerres mondiales,
atrocités commises principalement par les Américains mais sous les ordres de
leurs maîtres juifs. Ces atrocités étaient si répandues – et si vraies – qu’aujourd’hui, en Allemagne, il est
illégal pour quiconque de tenter de faire des recherches sur les atrocités
commises contre les Allemands. La
raison en est que quiconque tenterait de telles recherches découvrirait
rapidement que ce sont les Juifs qui sont responsables de toutes ces atrocités,
tant par la propagande haineuse que par l’influence directe, et les Juifs ne
veulent naturellement pas que ces vérités s’échappent. Ainsi, le gouvernement allemand a été contraint
de voter une loi rendant illégale toute enquête sur ces questions, et la
plupart des Allemands d’aujourd’hui n’ont aucune connaissance des incroyables
trahisons et atrocités qui leur ont été infligées par les Juifs. Au lieu de cela, ils apprennent par des
livres écrits par des juifs et par des professeurs d’université juifs, avec
l’aide considérable des médias contrôlés par les juifs, que ce sont les
Allemands qui ont infligé des atrocités aux Juifs.
The New York Times
L’amnésie du Japon
Un autre exemple est le bombardement
incendiaire en tapis de près de 100 villes japonaises – longtemps après que le
Japon avait accepté de se rendre – effectué par l’Américain Curtis LeMay
et qui a entraîné la mort d’environ 50 % de la population de toutes ces villes,
de la même manière que les Juifs le faisaient pour l’Allemagne et avec la même
détermination sanguinaire à détruire complètement le Japon et les Japonais que
pour l’Allemagne et le peuple allemand. Cette
atrocité immense et inadmissible, qui a entraîné la mort d’au moins 10 millions
de civils – presque tous des femmes et des enfants – a été si lourdement
occultée de l’histoire, y compris par la réécriture de tous les livres
d’histoire japonais, que presque personne au Japon n’en a connaissance, et
personne en dehors du Japon non plus. Dans ce cas, la suppression a été si totale
que même les statistiques démographiques nationales du Japon ont été
complètement falsifiées, fabriquées et recalculées après la guerre, afin
d’occulter totalement l’une des plus grandes atrocités de l’histoire en temps
de guerre.
Les Japonais ne font pas non plus de recherches
sur les atrocités commises contre le Japon parce que leurs maîtres juifs leur
ont appris, comme en Allemagne, les mêmes choses et pour les mêmes raisons. Personne aujourd’hui au Japon n’a la
moindre connaissance de l’implication des Juifs dans leur destruction. Il ne s’agit pas de contester les
atrocités qui ont effectivement été commises par les Japonais à l’encontre
d’autres personnes, mais de mettre en lumière le fait que les Juifs ont commis
des atrocités bien pires à l’encontre des Japonais ; mais comme ils ont
malgré cela un contrôle quasi-total sur les médias, sur l’édition de livres et
sur le gouvernement lui-même, ces événements ont été totalement effacés des
archives historiques et leur connaissance a été supprimée de la conscience du monde.
Encore une fois, cette situation est largement
favorisée par le “front des gentils”, où les Juifs ont utilisé les Américains
pour perpétrer ces crimes horribles tout en restant cachés dans l’ombre. Et encore une fois,
n’oublions pas que c’est un Juif – Bernard Baruch – qui a
choisi le Japon comme victime des nouvelles bombes atomiqueset qui a
personnellement sélectionné les villes à incinérer, presque certainement en
guise de punition pour l’expulsion préalable de tous les Juifs par le Japon.
Pourquoi on ne parvient pas à admettre
la vérité
Il vous serait utile de lire deux de mes
précédents E-books sur la Propagande et les Médias[1] et Bernays
et la propagande[2],
pour vous faire une idée de certaines des méthodes utilisées par les Juifs pour
assurer le silence (et l’ignorance) sur les événements passés. L’un des
principes de la propagande est que nous avons une forte tendance à croire la
première chose que nous lisons ou entendons sur un sujet, surtout si ces
affirmations sont répétées à plusieurs reprises. Par la suite, même lorsque
nous sommes confrontés à des preuves irréfutables, des faits qui ne peuvent
être contestés, prouvant que nos croyances désormais acceptées sont en fait
fausses, nous sommes étonnamment réticents à changer d’avis, et nous allons “hésiter
puis continuer à croire qu’il doit y avoir une autre explication”. Notre esprit est
apparemment incapable d’accepter que nous avons cru et croyons encore à des
mensonges.
“Arriver les premiers”
Ce
point est important car les Juifs en tirent un grand avantage pour empêcher la
découverte de leurs atrocités et empêcher toute pensée rationnelle. Généralement, si la connaissance de leurs
crimes passés montre des signes d’échapper à l’enfermement historique, les
Juifs utiliseront cette tactique de propagande pour “arriver les premiers”, un
auteur juif s’empressant d’écrire un livre ou un traité sur le sujet, une
publication qui regorge de mensonges et d’histoire falsifiée visant à exclure
les Juifs de toute implication et, si possible, à imputer les pires crimes à la
victime.
Interview with Julia
Lovell, author of “The Opium War” at Crowne Plaza Hotel,
Causeway Bay. 22JUL11 (Photo by Warton Li/South China
Morning Post via Getty Images)
Lorsque
les vérités sur l’écran de fumée autour de l’opium en la Chine ont commencé à
sortir du sarcophage et à être connues du public, une personne juive du nom de Julia
Lovell était là avec un livre tout prêt, intitulé La guerre de
l’opium, dans lequel les Juifs ne sont même pas
mentionnés ; et elle y qualifiait cet épisode de “tragi-comédie”, les
quelque cent millions de Chinois tués par les Juifs étant apparemment amusants
pour elle. Mais un grand nombre d’Américains et d’autres
personnes, qui ne connaissent pas les véritables circonstances et n’ont jamais
rien lu d’autre, auront tendance à croire la version abjectement fausse des
événements donnée par cette femme, si bien que le rôle des Juifs échappera à
l’exposition.
Le dépeuplement de l’Ile de Pâques
Une autre situation de ce genre s’est
produite lorsque la vérité sur le mystérieux dépeuplement de l’île de Pâques a
commencé à échapper à l’enfermement. Cette vérité semble être que ce sont des
marchands d’esclaves juifs qui ont enlevé la quasi-totalité de la population de
l’Île de Pâques pour en faire des esclaves destinés à travailler dans leurs
mines de guano au Pérou. Immédiatement après cette fuite, un juif nommé Jared
Diamond de l’Université de Californie était là avec un livre expliquant que les
habitants de l’Île de Pâques avaient simplement eu un violent désaccord entre
eux et s’étaient entretués. Diamond a été ridiculisé par d’autres
universitaires pour sa théorie stupide qui “n’avait pas l’ombre d’une preuve à
l’appui”, mais son livre n’avait pas été écrit pour les universitaires. Il avait été écrit pour le grand public
américain qui n’avait aucune connaissance de ces événements et qui allaient
probablement s’en tenir à la fausse version de Diamond. Et
une fois de plus, les Juifs éviteraient de se retrouver exposés.
La bulle spéculative des tulipes
La même chose s’est produite lorsque des
détails ont commencé à émerger et à fuité au sujet de la bulle spéculative des
tulipes en Hollande qui avait été entièrement mise en scène par des “banquiers”
juifs, avec leur marché à terme et tout le reste ; on n’avait pas du tout à
faire avec une “manie publique” comme on nous l’a dit, mais il y avait eu une tentative délibérée
de profiter de la cupidité et de la crédulité du public et de vider la moitié
des comptes bancaires en Hollande. Une fois de plus, dès que ces fuites ont
été rendues publiques, une auteure juive s’est chargée d’écrire un ouvrage
“définitif” sur le sujet qui, curieusement, ne mentionnait pas les Juifs, mais
affirmait en outre que personne n’avait subi de pertes financières. En fait,
cette personne avait solennellement affirmé qu’elle avait eu accès à tous les
registres de Hollande et que, grâce à une recherche des plus diligentes, elle
n’avait trouvé que quelques personnes en Hollande qui avaient fait faillite
pendant cette période. Selon elle, toutes ces faillites étaient dues à la “spéculation
immobilière” et n’avaient rien à voir avec les tulipes. Dans la
réalité, cette soi-disant “bulle” avait mis en faillite probablement la moitié de
la population hollandaise, mais une fois de plus, les Juifs étaient là pour
devancer la vérité et propager une version entièrement falsifiée de l’histoire
pour se protéger de l’exposition au grand jour de leurs responsabilités.
Les 50 pages vierges de l’Histoire
J’ai écrit ailleurs qu’au moins 90%, et
peut-être même 95%, de tout ce que vous savez, ou pensez savoir, ou que vous
croyez être vrai à propos de l’histoire, est faux. Pour reformuler cette
affirmation, si nous devions prendre l’histoire du monde entier au cours des
500 dernières années et la condenser dans un livre d’histoire de 100 pages, au
moins 50 de ces pages seraient vierges. Il s’agit de la quantité d’histoire – impliquant presque entièrement les Juifs – qui a été si profondément supprimée des
archives historiques qu’elle s’est littéralement évaporée de la conscience
humaine et que presque aucune personne vivante n’en a eu connaissance. Et sur
les 50 pages restantes de ce livre, probablement 45 seraient si largement
photoshopées, aseptisées, tordues, avec des détails cruciaux omis, qu’elles
constitueraient en grande partie une œuvre de fiction. Et bien sûr, quiconque
tente d’ouvrir ce sarcophage historique et d’en exposer le contenu est dénoncé
comme un révisionniste dérangé qui répand la désinformation. Et, si les Juifs
sont mentionnés dans ce “révisionnisme”, nous avons l’aura supplémentaire
d’être étiquetés comme “antisémites,
négateurs de l’holocauste, nazis et haineux des Juifs”. La plupart des âmes qui tentent cette
illumination historique ont très souvent payé de leur carrière, de leur
réputation, de leur compte bancaire, parfois de leur liberté et, dans certains
cas, de leur vie. Les
maîtres mafieux de la City de Londres, les “soi-disant” Juifs khazars, sont
aujourd’hui tout aussi brutaux, sauvages et remplis de mépris pour l’humanité
qu’ils l’étaient il y a 1000 ans [et plus].
David
Edwards a été cité dans le “Third World Traveler”
comme ayant écrit :
“Même
les personnes ouvertes d’esprit se trouvent souvent incapables de prendre au
sérieux des gens comme Noam Chomsky, Edward Herman, Howard Zinn et Susan George
lorsqu’elles
découvrent leur travail ; il ne semble tout simplement pas possible que nous
puissions nous tromper à ce point dans ce que nous croyons. L’individu peut
supposer que ces auteurs plaisantent, exagèrent, sont paranoïaques ou ont un
certain intérêt à la chose. Nous pouvons même nous mettre en colère contre eux
pour nous avoir dit ces choses terribles sur notre société et insister sur le
fait que cela “ne peut pas être vrai”. Il faut faire un réel effort pour continuer
à lire, résister aux messages rassurants des médias de masse et être prêt à
considérer à nouveau les preuves.”
C’est la condition à laquelle nous sommes
confrontés aujourd’hui face à ces vérités historiques retrouvées. Dans le cas
des Juifs, ils connaissent la vérité mais sont trop frénétiques et presque au
désespoir pour la garder enfouie et confinée, ce qui explique pourquoi ils
attaquent en masse avec tant de vengeance et de méchanceté chaque fois que ces
faits émergent à la lumière du jour. En
ce qui concerne les Américains, leur ignorance de la criminalité de leur propre
nation est fondée sur une foi et une conviction aveugles basées sur un siècle
de propagande juive intelligente qui est presque toujours carrément contredite
par les faits.
Mais même les citoyens des nations victimes – comme l’Allemagne – souffrent
d’un énorme choc et d’incrédulité lorsqu’ils sont confrontés aux vérités
historiques sur leur propre pays, parce que les Juifs et les médias juifs les
ont assommés pendant près de 100 ans avec un récit historique totalement faux.
Des amis ont envoyé à des connaissances allemandes mes articles sur le boycott
mondial de l’Allemagne par les Juifs en 1933 et d’autres articles connexes, et
ces Allemands m’ont répondu qu’ils trouvaient même ces brefs articles trop
pénibles à lire d’une traite parce que, bien que les preuves soient
irréfutables, elles contredisaient tout ce qu’on leur avait appris toute leur
vie sur eux-mêmes et leur pays, et le choc
d’apprendre que les choses qu’ils “savaient” étaient toutes des mensonges était
émotionnellement trop pénible à supporter.
La propagande positive
Dans le même temps, le monde a été soumis à
un siècle ou plus de propagande positive outrageusement fausse sur les Juifs,
un volume presque incompréhensible de désinformation teintée de rose sur les
Juifs en tant qu'”élus” appauvris, incompris et persécutés dans le monde
entier. En vérité, il y a peu de choses sur les Juifs et Israël aujourd’hui qui
ne soient pas basées sur des mythologies historiques fabriquées, une histoire
enterrée, des présentations biaisées, des faits déformés au point d’être
souvent méconnaissables. Probablement 95% de ce que le monde sait des Juifs, de
leur histoire, de leurs crimes massifs qui s’étendent sur des siècles, de leur
mépris étonnant pour l’humanité et la vérité, de leur conduite dans les
affaires internationales, est non seulement faux, mais violemment faux.
Et dans la même mesure, le monde a également été soumis à une propagande
négative et à une désinformation extrêmement et brutalement fausses au sujet
d’autres nations – sur
les victimes des Juifs, un volume tout aussi incompréhensible d’informations
teintées en noir par lesquelles les Juifs cherchent généralement à rendre
leurs victimes responsables des atrocités perpétrées contre elles.
Ces vérités historiques enfouies sont le
contenu de mes livres et de mes articles, l’histoire du monde (ou de certaines
parties du monde) telle qu’elle était et est réellement, des vérités dures à
prouver et des réalités documentées sans le vaste tapis de propagande, de
chauvinisme et de désinformation que le pouvoir médiatique juif a utilisé pour
couvrir et aveugler le monde depuis plus d’un siècle.
Retour sur l’Allemagne et le Japon
Le
bombardement incendiaire des quartiers ouvriers allemands avait été planifié en
détail par des Juifs. Depuis au moins le début des années 1900, Rothschild possédait la
plupart des usines d’armement et de munitions en Allemagne. C’est par le biais
de celles-ci qu’il avait fourni au Japon (et à la Russie également) les armes
pour leur guerre en 1905. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Juifs ne
voulaient pas que toutes leurs usines soient réduites en cendres lorsque les
Alliés commenceraient à survoler l’Allemagne. Leur solution a été de tuer tous
les ouvriers des usines, mais de laisser les usines intactes. Et c’est Frederick
Lindemann, envoyé par Rothschild à Churchill comme conseiller, qui lui présenta
ce plan. Nous
disposons d’enregistrements de la présentation du plan de Lindemann au cabinet
de guerre, qui préconise cette méthode et suggère qu’une “plus grande
incinération de chair par bombe pourrait être obtenue” de cette façon. Ceci est
également documenté par un mémo daté du 30 mars 1942, adressé par Lindemann à
Churchill, qui a donné lieu à ces intenses campagnes de bombardements de
terreur sur les civils allemands. Les quartiers ouvriers étaient très denses,
et ces munitions incendiaires créaient des tempêtes de feu naturelles et
intenses qui incinéraient pratiquement tout être vivant dans nombre de ces
quartiers. Les
Britanniques et les Américains, obéissant aux plans de leurs dirigeants juifs,
ont exécuté l’une des atrocités les plus barbares et inhumaines de la guerre.
Comme je le dis dans mon essai sur le
Japon, où la même chose a été faite, les statistiques démographiques du pays
ont été lourdement falsifiées, fabriquées et recalculées après la guerre pour
enterrer les preuves de ces atrocités. Je suis presque certain que la même
chose a été faite avec l’Allemagne. Je n’ai ni les ressources ni le temps de me
pencher sur la question de l’Allemagne, et les recherches sur les atrocités
commises à l’encontre des Allemands sont désormais illégales en Allemagne, mais
il est presque certain que les statistiques démographiques de l’Allemagne ont
été manipulées de la même manière que celles du Japon, pour cacher la vérité. Plusieurs millions de civils ont dû être
tués lors de ces raids, qui n’étaient rien d’autre qu’une tentative délibérée
et inhumaine de dépeupler l’Allemagne. Et cela n’inclut pas les victimes normales
de la guerre, ni les 12 à 15 millions de civils allemands tués après la guerre
par les exécutions, la famine et les migrations, ni les camps de la mort
d’Eisenhower, ni le million de morts civiles peut-être supplémentaires de
l’opération Paperclip.
*
Les
écrits de M. Romanoff ont été traduits en 32 langues et ses
articles ont été publiés sur plus de 150 sites web d’information et de
politique en langue étrangère dans plus de 30 pays, ainsi que sur plus de 100
plateformes en langue anglaise. Larry Romanoff est un consultant en gestion et un
homme d’affaires à la retraite. Il a
occupé des postes de direction dans des sociétés de conseil internationales et
a été propriétaire d’une entreprise internationale d’import-export. Il a été
professeur invité à l’université Fudan de Shanghai, où il a présenté des études
de cas dans le domaine des affaires internationales aux classes supérieures de
l’EMBA. M. Romanoff vit à Shanghai et écrit actuellement une série de dix
livres portant sur la Chine et l’Occident. Il est l’un des
auteurs ayant contribué à la nouvelle anthologie de Cynthia McKinney intitulée
When China Sneezes (Chapt. 2 – Dealing with Demons ; Quand la Chine
éternue, chapitre 2 : « Comment traiter avec les démons)).
Ses archives complètes de peuvent
être consultées à l’adresse suivante !
https://www.bluemoonofshanghai.com/
et https://www.moonofshanghai.com/
Contacter l’auteur : 2186604556@qq.com
NOTES
[1]
Bernays et la propagande :
https://www.bluemoonofshanghai.com/wp-content/uploads/2022/10/BERNAYS-AND-PROPAGANDA-.pdf
[2] La
propagande et les médias : https://www.bluemoonofshanghai.com/wp-content/uploads/2022/11/ENGLISH-PROPAGANDA-and-THE-MEDIA.pdf
Du même auteur https://plumenclume.com/2022/09/22/les-juifs-et-les-revolutions-larry-romanoff-12-septembre-2022/
https://plumenclume.org/blog/803-quelques-verites-a-connaitre-sur-la-chine
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