Par Larry Romanoff
Traduit par Maria Poumier
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1. Introduction
Ce sujet est important non seulement en soi, mais aussi parce qu’il établit des liens qui nous aident à mettre d’autres événements historiques en perspective, et plus encore parce qu’il constitue un exemple étonnant, voire stupéfiant, de la façon dont l’histoire est racontée, de la façon dont l’omission de seuls quelques faits cruciaux peut déformer radicalement tout un segment vital de l’histoire. L’une des conséquences est qu’une grande partie de ce que nous « savons » de notre histoire est factuellement faux, mais cela nous incite également à mépriser les innocents tout en sympathisant avec les coupables.
Il y a quelques années, Sever Plocker a écrit un article pour le journal israélien Ynet News intitulé « Les Juifs de Staline ».[1] dans lequel il a déclaré : « Nous ne devons pas oublier que certains des plus grands meurtriers [de masse] des temps modernes étaient juifs. » Cet article est un témoignage à l’appui de ses déclarations.
Pour citer Plocker, « nous ne pouvons pas connaître avec certitude le nombre de morts dont la Tchéka est responsable dans ses diverses manifestations, mais ce chiffre est sûrement d’au moins 20 millions, y compris les victimes de la collectivisation forcée, de la faim, des grandes purges, des expulsions, des bannissements, exécutions et morts massives dans les Goulags. Des couches entières de la population ont été éliminées : les agriculteurs indépendants, les minorités ethniques, les membres de la bourgeoisie, les officiers supérieurs, les intellectuels, les artistes, les militants du mouvement syndical, les « membres de l’opposition » définis de manière totalement aléatoire et d’innombrables membres du parti communiste lui-même.
Et nous, les Juifs ? De nombreux Juifs ont vendu leur âme au diable de la révolution communiste et ont du sang sur les mains pour l’éternité. Le Dr Halfin a décrit les vagues de terreur soviétique comme un « carnaval de meurtres de masse », un « fantasme de purges » et un « messianisme du mal ». Il s’avère que les Juifs eux aussi, lorsqu’ils se laissent captiver par l’idéologie messianique, peuvent devenir de grands meurtriers, parmi les plus grands que l’histoire moderne ait connu. Même si nous le nions, nous ne pouvons échapper à la judéité de « nos bourreaux », qui ont servi la Terreur rouge avec loyauté et dévouement depuis ses débuts.
Un étudiant israélien termine ses études secondaires sans jamais entendre le nom de « Genrikh Yagoda », le plus grand meurtrier juif du 20e siècle, commandant adjoint du GPU et fondateur et commandant du NKVD. Yagoda appliquait avec diligence les ordres de collectivisation de Staline et il est responsable de la mort d’au moins 10 millions de personnes. Ce sont les députés juifs qui ont établi et géré le système du Goulag.
Plocker exprime ensuite un point de vue trop répandu parmi les Juifs du monde entier, lorsqu’il écrit : « Les Juifs actifs dans les appareils terroristes communistes officiels…. . . Ils ne l’ont évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en tant que staliniens, communistes et « peuple soviétique ». Mais il se rattrape en déclarant en outre : « Mon propre point de vue est différent. Je trouve inacceptable qu’une personne soit considérée comme un membre du peuple juif lorsqu’elle accomplit de grandes choses, mais ne soit pas considérée comme faisant partie de notre peuple lorsqu’elle accomplit des choses incroyablement méprisables. » Je ne pourrais pas être plus d’accord.
Si cette argumentation est valable, alors l’Allemagne ne devrait pas s’excuser ni éprouver de remords pour quoi que ce soit, car après tout Hitler n’agissait pas en Allemand, mais en tant qu’« Européen » ou en « Nazi ». Mais il s’agit simplement d’une tentative boiteuse pour nous dire que les Juifs ne sont « vraiment juifs » que lorsqu’ils sont bons. Lorsqu’ils sont méchants, leur judéité se trouve évacuée, de façon plausible, et ils assument une autre identité.
Les Juifs ne veulent pas affronter l’histoire d’un nombre important de membres de leur propre peuple qui ont commis des atrocités sauvages, ce pourquoi ils minimisent leur propre origine, réécrivent l’histoire et l’oublient. Et plus précisément encore, qu’en est-il du traitement sauvage et inhumain que les Juifs d’Israël infligent au peuple palestinien ? Lorsqu’ils tirent dans la tête d’enfants, bombardent l’école des Nations Unies jusqu’à la destruction totale, détruisent l’école américaine de Gaza avec du phosphore blanc et brûlent vifs des enfants, agissent-ils en tant que Juifs ? Cela ne fait guère de doute…
Plocker fait référence à un autre phénomène, une tentative de confusion et de transfert de la responsabilité et la culpabilité des Juifs vers le peuple russe. Il a noté que Niall Ferguson, un soi-disant « historien » de l’Université Harvard, avait écrit dans son livre La guerre du monde « qu’ aucune révolution dans l’histoire de l’humanité n’a dévoré ses enfants avec le même appétit effréné que ne l’a fait la révolution soviétique ». Plocker a également rappelé que le Dr Igal Halfin de l’Université de Tel Aviv, dans un livre sur les purges staliniennes, a écrit que « la violence stalinienne était unique dans le sens où elle était dirigée de l’intérieur ».
Je trouve ces deux déclarations répugnantes, ce sont des sophismes idiots, des actes délibérés apparents visant à détourner la responsabilité d’une campagne de meurtres de masse presque sans égal. En aucun cas la révolution soviétique n’a « dévoré ses propres enfants » ; les Juifs sont plutôt venus en Russie pour dévorer les enfants russes. Et la violence était « dirigée vers l’intérieur » uniquement dans le sens où ceux qui l’exécutaient étaient des agents extérieurs, des étrangers venus pour tuer.
2. Un peu de contexte historique
Dans un précédent essai sur les Juifs et les révolutions (2),je faisais remarquer qu’il y a eu de nombreuses vagues de tentatives de révolutions dans le passé, toutes initiées par les Juifs, mais pour la plupart enterrées et déformées par ces mêmes personnes. La Russie constitue un cas particulier. Cela ne semble pas très connu, mais la Russie a connu plus que sa part de tentatives de révolution, avant et après l’événement de 1917 que nous connaissons tous sous le nom de « Révolution russe ».
3. Les révolutions de 1848
La Naissance des Nations. Source
En 1848, le monde était confronté à une véritable épidémie de tentatives de révolution et de renversements de gouvernement, affectant littéralement des dizaines de pays, parmi lesquels la Russie. Il y a eu un léger succès en France, mais tous les autres soulèvements ont été écrasés. Néanmoins, 1848 a été un moment majeur de l’histoire du monde qui n’est presque jamais considéré comme tel parce que les éléments individuels sont tous traités séparément par nos soi-disant historiens (principalement juifs) et les éditeurs de livres (presque entièrement juifs) qui ne nous fournissent jamais l’information exacte, autrement dit des outils pour relier tous ces événements disparates en une seule image. Je ne m’y attarderai pas ici, mais toutes les révolutions de cette année-là provenaient de la même source, un énorme effort concentré pour reconfigurer les gouvernements du monde afin qu’ils soient plus compatibles avec les objectifs des Juifs Khazars.
3.1. La Révolution de 1881
En 1879, la société Narodnaya Volya se sépare de Zemlya I Volya. Son principal objectif est de tuer Alexandre II. Ils tentent d’assassiner le tsar à plusieurs reprises. L’empereur a peur de quitter le palais et le fait rarement. Il ne sortait que pour changer la garde. La collectivité de Narodnaya Volya prépare un nouveau plan : Sofia Perovskaya agite son mouchoir et Nikolai Rysakov lance une bombe sur la calèche. L’empereur n’est pas blessé, il veut voir le terroriste et s’approche de lui. C’est à ce moment-là qu’Ignace Grinevitsky lance une deuxième bombe, qui sera fatale à Alexandre II. Source
La Russie a connu une autre révolution en 1881,(3) attisée par les mêmes personnes, en l’occurrence avec l’assassinat du tsar Alexandre II par une juive nommée Vera Figner, chef d’un groupe terroriste juif appelé « La Volonté du Peuple ». Voici leur notification au nouveau tsar Alexandre III :(4)
« Travailleurs de Russie ! Aujourd’hui, 1er mars, Alexandre le Tyran (Alexandre II) a été tué par nous, socialistes. Il a été tué parce qu’il ne se souciait pas de son peuple. Il les a accablés d’impôts. Il a privé le paysan de sa terre. Il a livré les ouvriers aux pilleurs et aux exploiteurs. Il n’a pas donné la liberté au peuple. Il n’a pas prêté attention aux larmes du peuple. Il ne se souciait que des riches. Lui-même vivait dans le luxe. Les policirers maltraitaient les gens et il les récompensait au lieu de les punir. Il pendait ou exilait tous ceux qui se démarquaient en faveur du peuple ou en faveur de la justice. C’est pourquoi il a été tué. Un tsar doit être un bon berger, prêt à consacrer sa vie à ses brebis. Alexandre II était un loup vorace et une mort terrible l’a frappé.
3.2. La Révolution de 1890
Encouragé par l’assassinat réussi d’Alexandre II, le mouvement Narodnaïa Volia commence à planifier le meurtre d’Alexandre III. L’Okhrana découvre le complot et cinq des conspirateurs, dont Alexandre Oulianov, le frère aîné de Vladimir Lénine, sont capturés et pendus le 20 mai [O.S. 8 mai] 1887. Alexandre III meurt en 1894 à l’âge de 49 ans et son fils aîné, Nicolas Tsesarevich, lui succède sur le trône sous le nom de Nicolas II. Source
Il semblerait que nos révolutionnaires ne se souciaient pas non plus d’Alexandre III et qu’ils ont fait une autre tentative mort-née en 1890. Dans le cadre de leur complot révolutionnaire, les Juifs ont profité d’une mauvaise année agricole pour tenter de favoriser une révolution populaire avec le levier de la faim, comme ils l’avaient fait en France. Au début, le gouvernement russe n’était pas conscient de l’ampleur des mauvaises récoltes et des pénuries alimentaires et il avait tardé à agir pendant un certain temps. Conscients du résultat naturel, et sachant également que les prix des céréales étaient beaucoup plus élevés pour l’exportation que pour la consommation intérieure, les « acheteurs de céréales » juifs ont devancé les actions du gouvernement en achetant et en exportant rapidement une grande partie de la récolte déjà limitée de l’année avant que les édits impériaux ne puissent les en empêcher. il. La famine qui en résulta fut grave et près de 500 000 personnes moururent. Mais la révolution espérée n’a pas eu lieu.(5)
3.3. La révolution de 1905
Le 9 janvier : Dimanche sanglant. 150 000 ouvriers en grève et leurs familles défilent à Saint-Pétersbourg pour adresser une protestation au tsar, mais l’armée leur tire dessus et les écrase à plusieurs reprises. Source
La tentative suivante fut beaucoup plus importante, il s’agissait de la révolution de 1905 et des évènements autour du « Dimanche sanglant » au cours duquel une protestation organisée fut réprimée assez brutalement par le nouveau tsar Nicolas II. Au cours des deux années suivantes, les Juifs organisèrent des brigades terroristes qui tuèrent plusieurs milliers de personnes, principalement des policiers et des représentants du gouvernement. Plusieurs milliers de terroristes juifs furent capturés et exilés en Sibérie et ailleurs, mais cette histoire comporte un élément étroitement lié et très important que l’histoire a dissocié et que nous devons comprendre.(6)
4. La guerre russo-japonaise
Je n’entrerai pas dans les détails ici car le sujet est vaste et d’autres références sont facilement disponibles sur les faits de base.(7)
En termes simples, la Russie souhaitait disposer d’un port naval en eaux chaudes en Corée du Nord ou en Chine, zones sous contrôle japonais. Le tableau est un peu trouble, mais il est clair que les Juifs poussaient fortement à la belligérance et à l’intransigeance des deux côtés, et promouvaient sans aucun doute un engagement militaire sérieux. Jacob Schiff promouvait une politique (complètement fictive) visant à aider le Japon à s’industrialiser et à se militariser, pour se protéger des « chrétiens du tsar de Russie ».(8)
L’un des détails cruciaux que l’histoire a occultés est que le Japon a non seulement été poussé vers une guerre avec la Russie, mais qu’il a reçu un financement de 200 millions de dollars de la part des Rothschild européens pour acheter une large gamme d’armes opportunément fournies par les usines d’armement Rothschild en Allemagne. Le Japon était littéralement armé jusqu’aux dents avec les dernières nouveautés – et tout cela à crédit. Un autre détail que l’histoire a omis est que l’on vendait à la Russie essentiellement les mêmes armes pour environ les mêmes 200 millions de dollars et également à crédit, financées par un autre groupe de banquiers juifs mais fournies par les mêmes usines Rothschild. Heureusement pour les Japonais, leurs armes arrivèrent juste à temps pour les attaques contre la Russie, permettant au Japon de détruire une grande partie de la flotte russe. Malheureusement pour la Russie, les expéditions d’armes qui lui étaient destinées furent inexplicablement retardées, n’arrivant que lorsque tous les dégâts étaient irréversibles, laissant ainsi le gouvernement affaibli, démoralisé et dans le désarroi, avec une grande partie de son armée détruite.
Malgré cette défaite, la Russie a finalement obtenu la moitié de l’île de Sakhaline à l’époque pour l’utiliser comme base navale, et a obtenu le reste après la Seconde Guerre mondiale. Ainsi, les Japonais se rendirent compte que leur guerre avec la Russie ne leur avait rapporté en réalité aucun bénéfice, à eux sinon à d’autres. Cependant, ils se rendirent également compte d’autre chose : qu’ils avaient été entraînés par les Juifs dans une guerre contre la Russie dans le seul but d’affaiblir la Russie et de préparer la révolution planifiée de 1905. Non seulement ils n’ont tiré aucun bénéfice de la guerre, mais ils ont été utilisés simplement comme un outil involontaire pour affaiblir un ennemi afin que quelqu’un d’autre puisse le vaincre – et les ont laissés presque en faillite et avec 200 millions de dollars de dettes pour cette expérience.
Nos livres d’histoire et Wikipédia n’en ont aucune connaissance. Un exemple de la façon dont l’omission d’un seul détail crucial change le tableau complet d’un événement historique, conduisant tous les élèves à des conclusions erronées.
Les Japonais ne l’ont pas oublié et, après d’autres expériences similaires, ils ont réalisé qu’ils ne seraient jamais acceptés comme faisant partie du monde occidental. Ainsi, lorsque les vents de la Seconde Guerre mondiale ont commencé à souffler, les Japonais ne voulaient naturellement pas d’ennemis étrangers parmi eux. Ils expulsèrent d’abord tous les Juifs de Nagasaki en 1926, puis plus tard tous les Juifs de tout le Japon. C’est ici que nous pouvons établir des liens plus historiques. Il semble presque certain que Bernard Baruch , juif et « l’homme le plus puissant des États-Unis » à l’époque, ait choisi Nagasaki comme l’une des cibles de la bombe atomique. Et les expulsions totales ultérieures étaient sans doute la raison pour laquelle Baruch a choisi le Japon comme cible des États-Unis pour mettre en œuvre leurs nouvelles prouesses atomiques.
Les Juifs Khazars ne pardonnent à aucune nation qui les expulse. C’est la raison pour laquelle la pauvre petite île de Cuba a été horriblement punie depuis la révolution de Castro, et l’une des raisons pour lesquelles la Chine est une telle cible aujourd’hui – parce que Mao a expulsé tout l’opium et tous les autres trafics juifs en Chine dès son arrivée au pouvoir. Les publications juives nous disent que les Juifs ont quitté Shanghai « précipitamment » après la guerre, oubliant de mentionner la cause de cette « précipitation ».
C’est un aparté, mais la deuxième expulsion de tous les Juifs du Japon est à l’origine des histoires fabriquées selon lesquelles Shanghai « avaient accueilli 40 000 Juifs qui fuyaient les atrocités hitlériennes en Europe ». L’histoire, entièrement fausse, est que tous ces Juifs avaient voyagé depuis l’Allemagne jusqu’à Shanghai où ils seraient « à l’abri » d’Hitler. Mais si tel était leur objectif, traverser la frontière russe aurait suffi ; atteindre Moscou aurait été plus que suffisant. Parcourir 7 000 km. tout le chemin à travers la Sibérie, puis encore 5 000 km. Vers le sud, jusqu’à Shanghai n’a aucun sens. Il y avait de nombreux endroits sûrs sur le chemin. Quoi qu’il en soit, le transport de Moscou vers la Sibérie était réduit au minimum et il n’existait aucun système capable de transporter 40 000 personnes supplémentaires vers Iakoutsk, ni d’installations pour transporter ces personnes à travers la Sibérie, la Mongolie et la Mandchourie sous contrôle japonais jusqu’à Shanghai. Même si quelques-uns ont pu voyager par voie terrestre, en réalité ce sont les Juifs expulsés du Japon qui ont afflué à Shanghai. Et ce ne sont pas les « Chinois au cœur chaleureux » qui ont sauvé 40 000 Juifs d’Hitler, comme on nous le dit. Les Japonais avaient le contrôle total de Shanghai ainsi que d’une grande partie du nord-est de la Chine, et Shanghai comptait déjà un grand nombre de Juifs spécialisés dans l’opium, le transfert était donc naturel. La « Chine » n’avait pas son mot à dire, Shanghai n’avait pas son mot à dire, et tous ces « Chinois au cœur chaleureux » ne savaient même pas ce qui s’était passé.
5. Retour à la Révolution de 1905
Le tsar de l’époque, Nicolas II, avait sérieusement changé d’avis et il était prêt à faire des concessions majeures pour maintenir son pays en paix et éviter une guerre civile. L’un de ses ministres les plus efficaces, Pierre Stolypine, lui proposait de nombreux changements qui auraient cimenté le contentement de la population et la sécurité de la Russie. On dit que Stolypine était peut-être le seul homme qui aurait pu éviter toute effusion de sang et sauver les Romanov. Mais c’est justement pour cela que Stolypine devait disparaître. (9) Un révolutionnaire juif nommé Dmitri Bogrov abat Stolypine.(10). Les Juifs ont rapidement affirmé que Bogrov « avait agi seul », mais les mystères de cet assassinat n’ont jamais été résolus. Quoi qu’il en soit, son assassinat condamna la dynastie des Romanov. Wikipédia n’est pas au courant que Bogrov était juif. (11)
6. La révolution russe de 1917
Cannibalisme pendant la famine russe de 1921. Source
Il faut d’abord noter que la révolution russe de 1917 n’était en aucun cas une révolution « russe ». Il s’agissait entièrement, à 100 %, d’une révolution juive contre la Russie et le peuple russe. Les autochtones russes n’ont joué aucun rôle dans la planification et ont joué un rôle minime dans l’exécution de cette immense tragédie, certainement l’un des événements les plus sanglants et les plus sauvages de l’histoire récente du monde.
Ce n’est pas tant la révolution qui nous intéresse, mais les événements qui la précèdent et la suivent doivent retenir notre attention. Les Juifs voulaient désespérément un soulèvement pour détruire la Russie telle qu’elle était, selon le plan de contrôle communiste mondial. Cette fois, ils ont planifié la chose beaucoup plus soigneusement. Cela ne semble pas très connu, mais Trotsky et plusieurs centaines de Juifs russes qui avaient été expulsés de Russie après l’échec de la révolution de 1905 étaient tous aux États-Unis pour recevoir une formation en vue de la tentative suivante, et ils bénéficièrent de nombreuses années de coaching. Ils furent largement financés par Jacob Schiff et Max Warburg, qui dépensèrent plus de 20 millions de dollars pour la formation et le financement de la révolution elle-même. (11a) Cela représenterait aujourd’hui environ 750 millions de dollars, une somme énorme pour l’époque.
En mars 1917, Schiff et Warburg envoyèrent Lev Davidovitch Bronstein , mieux connu sous le nom de « Trotsky », et son groupe de plusieurs centaines de communistes juifs en Russie pour fomenter une révolution. Dans le même temps, quelque 90 000 exilés juifs du monde entier sont rentrés en Russie pour infiltrer le pays et participer à la révolution, la plupart changeant leur nom juif pour se fondre plus facilement dans la société russe. Il ne s’agissait pas d’une entreprise hasardeuse, mais d’une vaste planification mondiale provenant d’une seule source – cette source étant la City de Londres.
Le retour d’exil de Lénine a mis la Russie sur la voie rapide de la révolution …
Lénine a été envoyé à travers l’Europe jusqu’en Russie à bord du fameux « train plombé » avec 5 ou 6 millions de dollars supplémentaires en or (environ 175 millions de dollars en dollars d’aujourd’hui). Au même moment, Trotsky quittait New York à bord du SS Christiania avec environ 300 révolutionnaires juifs intensivement entraînés, avec un énorme trésor d’or en main, leur premier port d’escale étant Halifax, en Nouvelle-Écosse. Le gouvernement canadien était au courant du complot et de l’identité de ces hommes, il a arrêté Trotsky et son peuple et a saisi leur or. Mais les Juifs ont réagi immédiatement et avec des menaces d’utilisation de la force, avec William Wiseman de Kuhn Loeb et la célèbre Maison « Colonel », imposant une pression énorme sur le Canada pour qu’il libère les hommes. Le Canada, lâche comme toujours, a capitulé devant la pression et s’est incliné, Trotsky étant alors libre de rencontrer Lénine et de poursuivre les plans juifs pour la Russie. C’est l’une des nombreuses parties de l’histoire canadienne qu’aucun Canadien n’est autorisé à découvrir.
Enfin, à 23h10, le 3 avril, le train plombé s’arrête à la gare de Finlande de Petrograd où Lénine est accueilli par une foule de partisans, principalement des marins de la base navale de Cronstadt et des soldats qui ont déserté le front, brandissant des pancartes et poussant des cris d’allégresse. Hissé sur un véhicule blindé à proximité, Lénine prononce ses célèbres “thèses d’avril”, promettant la paix, la terre et le pain. Source
Dans le monde de l’assurance automobile, il existait autrefois une doctrine d’attribution des responsabilités en cas de collision, connue sous le nom de « dernière chance claire ». La théorie était que, quelle que soit la personne qui avait créé les circonstances d’un accident, si un conducteur avait eu une dernière chance claire d’éviter la collision mais ne parvenait pas à l’exercer, la faute retomberait sur lui. Si nous adoptons cette doctrine, le Canada avait tenu la dernière chance claire et peut être tenu entièrement responsable de la révolution en Russie et du nombre énorme de victimes qui en a résulté.
7. Les révolutionnaires juifs
De gauche à droite :Trotski (1879–1940), Staline (1878-1953), Lénine (1870-1924). Source d’information
Le Géorgien Joseph Visarion Djougachvili (alias Joseph Vissarionovich Staline) n’était peut-être qu’une façade, le véritable pouvoir derrière le trône émanant de la City de Londres et étant exercé par Jacob Schiff et Max Warburg. Certains historiens s’accordent à dire que Staline n’était qu’une simple figure de proue et que c’était Lazar Kaganovitch (le chef juif de la TCHEKA et le frère de l’épouse juive de Staline) qui était réellement aux commandes. De nombreux historiens semblent accepter la thèse selon laquelle ce sont tous les Juifs occupant des postes importants sous Staline qui prenaient les décisions et déterminaient la politique à suivre.
Il convient de noter que, même si les Juifs ne représentaient qu’un infime pourcentage de la population russe, entre 80 et 90 % de tous les révolutionnaires russes étaient juifs et, dans certains segments comme les Goulags et la TCHEKA, la participation juive était effectivement de 100 %. Les Juifs ont totalement dominé l’ensemble du régime bolchevique après la Révolution d’Octobre Rouge de 1917. Presque tous les ministres du premier gouvernement soviétique étaient juifs, et les rares qui ne l’étaient pas étaient francs-maçons, avaient des épouses juives et parlaient yiddish. “La révolution bolchevique en Russie fut l’œuvre de cerveaux juifs, du mécontentement juif, d’une planification juive, dont le but était de créer un nouvel ordre dans le monde.”(12) Comme indiqué ci-dessus, environ 90 000 Juifs de nombreuses régions européennes ont afflué dans les grandes villes de Russie pour se voir attribuer des postes de direction importants dans tous les principaux secteurs du gouvernement et de l’économie.
« D’après les données fournies par la presse soviétique, sur 556 fonctionnaires importants de l’État bolchevique, y compris les fonctionnaires mentionnés ci-dessus, il y avait en 1918-1919 : 17 Russes, deux Ukrainiens, onze Arméniens, 35 Lettons [Lettons], 15 Allemands. , un Hongrois, dix Géorgiens, trois Polonais, trois Finlandais, un Tchèque, un Karaïm et 457 Juifs .(13)
« D’après les documents du Département d’État américain , un groupe de puissantes élites financières juives planifiait le renversement du tsar russe Nicolas II en 1916. Parmi ces conspirateurs figuraient Jacob Schiff, Mortimer Schiff, Felix Warburg, Otto Kahn et Isaac Zeelman. Ils avaient décidé que la Russie devait être détruite et qu’un régime dictatorial communiste serait mis en place, soumis aux diktats de la communauté juive internationale. » (14)
Alexandre Soljenitsyne a écrit : « Vous devez comprendre ceci : les bolcheviks qui ont pris le pouvoir en Russie n’étaient pas des Russes. Ils détestaient les Russes ! Ils détestaient les chrétiens ! Poussés par la haine ethnique, ils ont torturé et massacré des millions de Russes sans le moindre remords humain. La Révolution d’Octobre n’était pas ce qu’on appelle en Amérique la « Révolution russe ». C’était une invasion et une conquête du peuple russe. Un grand nombre de mes compatriotes ont subi des crimes horribles entre des mains tachées de sang, plus que n’importe quel peuple ou nation n’en a jamais souffert dans toute l’histoire de l’humanité. Cela ne peut pas être sous-estimé ! Le bolchevisme fut le plus grand massacre humain de tous les temps. Le fait que la majeure partie du monde ignore cette réalité est la preuve que les médias mondiaux eux-mêmes sont entre les mains des auteurs de ces actes. Nous ne pouvons pas affirmer que tous les Juifs étaient bolcheviks, mais sans les Juifs, il n’y aurait pas eu de bolchevisme. Pour un juif, rien n’est plus insultant que la vérité. Les terroristes juifs assoiffés de sang ont assassiné 66 millions de personnes en Russie entre 1918 et 1957. »[15]
Winston Churchill a écrit : « Il n’est pas nécessaire d’exagérer le rôle joué dans la création du bolchevisme et dans la mise en œuvre de la révolution russe par ces Juifs internationaux et pour la plupart athées. . . Dans les institutions soviétiques, la prédominance des Juifs est encore plus étonnante. Et un rôle important, sinon le plus important, dans le système de terrorisme appliqué par les Commissions extraordinaires de lutte contre la contre-révolution (CHEKA) a été assumé par des juifs et, dans certains cas notables, par des juives.»(16)
« La révolution mondiale que nous allons vivre sera exclusivement notre affaire et reposera entre nos mains. Cette révolution renforcera la domination juive sur tous les autres peuples. »(17)
8. La TCHEKA juive
Fyodor Dzerjinski parmi les hauts fonctionnaires du Comité de la Tchéka de l’Union. De gauche à droite : Sergei Guerassimovitch Uralov, F. Dzerjinski, Volobtsev, Mikhail Vassiliev-Yuzhin, Ivan Ksenofontovitch Ksenofontov, Grigory Moroz, Vasily Savinov. Source d’information
La TCHEKA juive était une force de police secrète créée par le NKVD ; sa composition était presque entièrement juive. « Les Juifs étaient particulièrement dominants dans la partie la plus redoutée et la plus sanguinaire de l’appareil d’État bolchevique, la TCHEKA, qui était composée de 250 000 officiers », tous juifs, et avec un pouvoir illimité, Kaganovitch et son organisation TCHEKA agissant à la fois comme « policiers, enquêteurs, geôliers, procureurs, juges et bourreaux ».(18)
Lazar Kaganovitch était le chef juif de la TCHEKA et était célèbre pour ses purges contre ceux qui s’opposaient au contrôle juif du pays. Quiconque osait critiquer la suprématie juive était impitoyablement assassiné, « l’antisémitisme » étant devenu un crime passible de la peine de mort en Union soviétique.
Et surtout, la TCHEKA rassemblait tous les Gentils qui ne soutenaient pas le gouvernement juif, puis les torturaient et exécutaient. Cela incluait particulièrement les militaires et les fonctionnaires, tout le clergé chrétien et toute personne possédant des biens évalués à plus de 10 000 roubles. Les Juifs qui dirigeaient la TCHEKA non seulement exterminaient toutes ces catégories de personnes, mais se spécialisaient dans la torture, leurs méthodes comprenant l’écorchage des personnes de leur vivant, le scalpage, l’empalement sur des pieux, la pendaison, la lapidation à mort, la « couronne » de fil de fer barbelé, l’attachement à des planches, avant d’être poussés lentement dans des réservoirs d’eau bouillante. Il y avait une autre atrocité qui était également couramment commise contre les esclaves noirs en Amérique , celle d’enfoncer des clous dans un grand tonneau en bois de sorte que les pointes dépassent à l’intérieur, puis de placer un homme nu dans le tonneau, et de le faire rouler vers le bas sur le pentes de collines abruptes. Ils ont également utilisé ce qu’on appelle la « torture du rat », plaçant un rat dans une boîte métallique à fond ouvert attachée à l’abdomen d’un homme, puis chauffant la boîte métallique au rouge, auquel cas l’animal, fou de chaleur, tente de s’échapper en rongeant le corps de l’homme.
Ces Juifs se spécialisaient également dans la torture et le meurtre de femmes et d’enfants, violant inévitablement les femmes avant qu’elles ne soient tuées. Les Juifs de la TCHEKA parcouraient ouvertement les campagnes, kidnappant et tuant des enfants, pour finalement exterminer des populations rurales entières. Ils ont également incendié nombre, voire la plupart, des églises et détruit la plupart des monuments chrétiens de Russie, transformé les prêtres en balayeurs ou tout simplement les assassinant. En fin de compte, la majorité du clergé chrétien fut tuée par les Juifs. « La TCHEKA juive a systématiquement exterminé les riches, la classe des affaires, la classe intelligente et instruite, tous les segments les plus performants de la population, laissant la Russie avec une population d’ouvriers ignorants, de paysans et une puissante élite dirigeante juive. »
La récompense pour l’assassinat de la famille impériale offerte par le banquier juif de Wall Street Jacob Schiff a été réglée avec les bolcheviks. Ce juif d’origine allemande se vantera plus tard d’avoir financé le coup d’État bolchevique de 1917 qui a renversé le gouvernement légitime de la Russie. Schiff a personnellement offert une récompense substantielle pour le meurtre de la famille royale russe. L’investissement de ce banquier juif a financé une tyrannie qui, au moment de son effondrement en 1990, aurait directement ou indirectement causé la mort de70 à 100 millions de personnes, pour la plupart des Russes. Jacob Schiff semble avoir obtenu la distinction douteuse d’être le plus grand pourvoyeur d’assassinats de l’histoire de l’humanité. Source.
Les Juifs de la TCHEKA ont également assassiné toute la famille du tsar Nicolas II, « le dernier des Romanov ». C’est Iakov M. Iourovski , un juif, qui a commis les meurtres. Trotski a rationalisé les meurtres comme « une mesure utile, non seulement opportune mais nécessaire ». Il a affirmé que cela prouvait que « cela montrait à tout le monde que nous continuerions à nous battre sans pitié, sans reculer devant rien ». Il a déclaré que les exécutions avaient pour but « d’effrayer, d’horrifier et d’inculquer un sentiment de désespoir » aux chrétiens païens, et aussi de montrer aux autres Juifs qu’« il n’y avait pas de retour en arrière, qu’il y aurait soit une victoire totale, soit une catastrophe totale ».
9. Les Goulags juifs
Les Goulags se composaient d’environ 500 camps de concentration juifs établis sous la TCHEKA et utilisés principalement pour le travail forcé, tous les dissidents de la population étant généralement condamnés à des peines de 5 à 25 ans de travaux forcés. Yagoda a envoyé des centaines de milliers de personnes travailler sur le projet de canal de la mer Baltique où d’innombrables Russes, Ukrainiens et autres ont péri. Le système fut créé et fondé par deux Juifs, Naftaly Frenkel et Levi Berman, sous le contrôle direct de Genrikh Yagoda et avec des camps commandés par des Juifs tels que Rappoport, Solz et Spiegelglas, qui sont tous longuement mentionnés dans les travaux de Soljenitsyne:
Aleksandr Isaievech Soljenitsyne a terrassé le dragon du despotisme idéologique avec une éloquence, une détermination et un courage rares. Rien que pour cela, il mérite qu’on se souvienne de lui pour toujours. Source
« Des millions d’innocents ont été incarcérés dans ces goulags qui sont finalement devenus des camps de la mort. « Les prisonniers travaillaient à l’extérieur et dans les mines, dans les régions arides et dans le cercle polaire arctique, sans vêtements, outils, abris, nourriture ou même eau potable adéquats. Ils marchaient péniblement dans la boue par des températures inférieures à -20°C, abattaient des arbres avec des scies à main, creusaient dans le sol gelé avec des pioches primitives et soulevaient d’énormes rochers avec des outils primitifs. D’autres extrayaient du charbon ou du cuivre à la main, souffrant souvent de maladies pulmonaires douloureuses, voire mortelles, dues à l’inhalation de poussière de minerai pendant leur travail. Ces prisonniers travaillaient jusqu’à 14 heures par jour sur des projets de grande envergure, notamment le canal Moscou-Volga, le canal mer Blanche-Baltique et l’autoroute Kolyma.
Avant la mort de Staline, près de 20 millions d’hommes et de femmes ont été transportés vers ces camps en Sibérie et vers d’autres avant-postes, dont beaucoup ne sont jamais revenus. Les prisonniers souffraient de faim, de maladie, de coups et de froid ; un nombre immense de personnes sont mortes. La famine n’était pas rare, car les prisonniers étaient à peine nourris suffisamment pour supporter un travail aussi difficile. D’autres prisonniers ont simplement été traînés dans les bois et abattus par les gardes sans aucune raison connue, voire sans raison du tout. (19)
10. La collectivisation juive
Une mère affamée tient son enfant dans ses bras au plus fort de l’Holodomor. URSS. Vers 1933. Wikimedia Commons. Source
Les bolcheviks juifs ont mis en œuvre une politique connue sous le nom de « collectivisation », qui impliquait la confiscation de toutes les terres paysannes au nom de l’État et par le recours à la terreur rouge aux mains de la TCHEKA. « C’est ce que Karl Marx lui-même a décrit comme « l’essence du communisme », abolir la propriété privée qui appartient aux gentils ». Après une douzaine d’années, plus de 90 % de l’ensemble des terres avaient été « collectivisées ». L’une des conséquences directes de ce processus fut la mort par famine, puisque les Juifs confisquèrent non seulement les terres mais aussi toutes les céréales de ces régions, condamnant directement les paysans à mort.
Les famines créées en Russie par les Juifs étaient inimaginables. Une historienne, Ioulia Khmelevskaïa, a écrit : « Les gens mangeaient presque tout ce qui pouvait être avalé. Ils mangeaient la paille des toitures. » Les Juifs ont délibérément organisé trois grandes vagues de « famines provoquées par l’homme et visant à affamer les agriculteurs en Ukraine, en Biélorussie, au Kazakhstan et en Russie ». Des millions de personnes sont mortes lentement et ont eu recours à la consommation d’herbe, voire au cannibalisme. Et l’attitude des Juifs à ce sujet ? Trotsky est célèbre pour avoir déclaré : « Vous mourez de faim ? Ce n’est pas encore la famine ; quand vos femmes commenceront à manger leurs enfants, alors vous pourrez venir dire que vous mourez de faim. (20)
11. L’Holodomor juif en Ukraine
Un chariot rempli de cadavres est emmené pour l’incinérationWikimedia Commons. Source
L’Encyclopedia Britannica estime qu’environ 8 millions de personnes, dont cinq millions d’Ukrainiens, sont mortes de faim à cause d’une seule famine de Kaganovitch et que les trois génocides de l’Holodomor ont entraîné ensemble un bilan de 16,5 millions de personnes. Les médias juifs et les organisations juives de tous bords font aujourd’hui d’énormes efforts pour que l’on considère les famines ukrainiennes comme un bobard alors que les preuves sont accablantes. Ils le font principalement pour éviter la comparaison avec le sort des Juifs, d’après eux seules victimes de la Seconde Guerre mondiale. C’est pire que vous ne pourriez l’imaginer ; nous avons tous vu des photos d’énormes tas de cadavres émaciés –n’ayant littéralement plus que la peau et les os– entassés sur deux mètres ou plus de hauteur, qui nous sont présentées comme la preuve que les Juifs avaient été tués par la faim, organisée par les Allemands. Mais ces clichés montrent en fait des quantités d’Ukrainiens, de Russes et d’autres Slaves morts de faim par la faute de Juifs. (21)
Alexandre Soljenitsyne estimait qu’au total le régime juif en Russie avait réussi à exterminer plus de 60 millions de personnes, y compris les victimes de la collectivisation forcée, des famines, des purges, des expulsions, des bannissements, des exécutions et des morts massives dans les Goulags. Je crois qu’il a également dit que « les meurtres à l’échelle industrielle comme ceux-ci constituent une partie essentielle de la théorie communiste [juive] ».
12. Sympathie juive khazar pour les victimes
Trotsky a déclaré : « Nous devons transformer la Russie en un désert peuplé de nègres blancs à qui nous imposerons une tyrannie telle que les plus terribles despotes orientaux n’en ont jamais rêvé. La seule différence est qu’il s’agira d’une tyrannie de gauche et non d’une tyrannie de droite. Ce sera une tyrannie rouge (juive), et non blanche. Nous entendons le mot « rouge » littéralement, parce que nous verserons des flots de sang tels que toutes les pertes humaines subies dans les guerres capitalistes pâliront en comparaison. Les plus grands banquiers d’outre-mer travailleront avec nous en contact le plus étroit possible. Si nous gagnons la révolution, nous établirons le pouvoir du sionisme sur les décombres des funérailles de la révolution, et nous deviendrons une puissance devant laquelle le monde entier tombera à genoux. Nous saurons ce qu’est le véritable pouvoir. Par la terreur et les bains de sang, nous réduirons l’intelligentsia russe à un état de stupéfaction et d’idiotie totale et à une existence animale. »
Lénine disait que « les trois quarts de l’humanité peuvent mourir, si nécessaire, pour laisser immanquablement l’autre quart au communisme ».
Grigori Zinoviev , chef de l’Internationale communiste juive (Komintern), écrivait dans un article paru dans la Krasnaya Gazeta, en 1918, où il déclarait : « Nous rendrons nos cœurs cruels, durs et inébranlables, afin qu’aucune pitié n’y pénètre, et afin qu’ils ne frémissent pas à la vue d’une mer de sang ennemi. Nous allons ouvrir les vannes de cette mer. Sans pitié, sans ménagement, nous tuerons nos ennemis par dizaines. Qu’ils soient des milliers. Qu’ils se noient dans leur propre sang. Qu’il y ait des flots de sang bourgeois ; plus de sang, autant que possible. (22)
13. Les Juifs de Staline
Lazar Kaganovitch
Lazar Kaganovitch était un proche collaborateur de Joseph Staline et le frère de l’épouse de Staline. Comme indiqué ci-dessus, Kaganovitch était le chef juif de la TCHEKA et cil était élèbre pour ses purges de ceux qui s’opposaient au contrôle juif du pays, ayant ordonné la mort de millions de personnes. Kaganovitch s’est ouvertement vanté de sa responsabilité personnelle dans le meurtre d’au moins vingt millions de personnes. C’est également Kaganovitch qui a présidé à la destruction totale des églises chrétiennes et du clergé, l’homme célèbre pour s’être tenu au sommet des décombres d’une église russe et avoir proclamé : « La Mère Russie est abattue ! Nous lui avons arraché ses jupons !(23)
Ce Juif a véritablement « fait de la vie un enfer » pour le peuple russe, tuant d’innombrables millions de paysans innocents dans une mer de sang. Tout le monde n’y a pas objecté : un juif d’Hollywood aurait déclaré : « On ne peut pas faire une omelette sans casser des œufs » et, dans une déclaration diversement attribuée à Staline et à Kaganovitch, « la mort d’un homme est une tragédie, le la mort d’un million de personnes est une statistique. D’un autre côté, la bibliothèque virtuelle juive semble savoir seulement que Kaganovitch « a dirigé la construction du métro de Moscou » et que, plutôt que d’être le principal responsable juif de Staline, sa « soumission à Staline a été clairement mise en évidence » dans un article obscur, qu’il aurait écrit. (24) Kaganovitch n’était qu’un des meurtriers de masse juifs ; de nombreux autres Juifs ont contribué au massacre des Russes dans les circonstances les plus cruelles.
Yakov Sverdlov
Yakov Sverdlov, connu comme le « diable de la révolution », était le secrétaire exécutif juif et le chef du gouvernement juif. C’est cet homme qui a créé et déclenché ce qui est devenu connu sous le nom de « Terreur rouge ». C’est également Sverdlov qui a initié ce qu’on appelle la « décossackisation », au cours de laquelle environ un million de Cosaques du Don ont été brutalement tués, y compris des femmes et des nourrissons, souvent enterrés vivants. Durant les premières années après 1917, il semble que chaque action sanglante contre le peuple russe ait été initiée par Sverdlov, en tant que « le cerveau du parti ». L’écrivain P. Paganuzi a déclaré que « les crimes monstrueux des bolcheviks [juifs], qui dépassaient toutes les mesures de cruauté, ont été commis sur ordre du centre, et la principale responsabilité en incombe à Sverdlovsk ». (25) (26) (27) (28) (29)
C’est Sverdlov qui avait donné l’ordre de tuer la famille royale russe. “Des recherches menées en 1990 par le dramaturge et historien moscovite Edvard Radzinsky ont révélé le rôle de Sverdlov dans l’ordre d’exécution du tsar Nicolas II et de sa famille.” Les Juifs étaient si fiers de lui que la ville d’Ekaterinbourg, où le tsar et sa famille furent tués, fut rebaptisée Sverdlovsk en son honneur.
Genrikh Yagoda (vrai nom : Genakh Gershenovich)
Genrikh Yagoda a été décrit comme « le principal chef terroriste de Staline, responsable de son maintien au pouvoir », et qui était incontestablement « l’un des plus grands meurtriers de masse juifs du 20e siècle ». Il était le commandant adjoint du GPU et le fondateur et commandant du NKVD. C’est Yagoda qui a mis en œuvre la collectivisation des terres et des cultures paysannes et qui a été responsable de la mort d’au moins 10 millions de personnes. Ce sont les députés juifs de Yagoda qui ont établi et géré le système du Goulag, devenu célèbre grâce à Alexandre Soljenitsyne. (30) Yagoda fut ensuite rétrogradé et remplacé comme bourreau en chef par Nikolai Yezhov , « le nain assoiffé de sang ».
Lavrenti Pavlovitch Beria
Lavrenti Beria, certainement le lieutenant juif le plus puissant et le plus vicieux de Staline, était un meurtrier de masse de paysans et un maniaque du sexe et pédophile assoiffé de sang qui enterrait des enfants dans sa cave, dont beaucoup alors qu’ils étaient apparemment encore en vie. Beria était le chef de la police notoire et le puissant lieutenant qui a initié le massacre de Katyn.(31) Beria a rejoint le CHEKA et est devenu chef du NKVD en Géorgie et finalement membre du Comité central du Parti communiste, puis vice-Premier ministre et membre du Politburo. Après la mort de Staline en 1953, Beria tenta de le remplacer comme dictateur de l’Union soviétique, mais fut vaincu par Nikita Khrouchtchev, Molotov et Malenkov.
Comme exemple de la façon dont l’histoire est racontée , considérons cette déclaration apparemment triviale : « Beria a longtemps symbolisé tous les maux du stalinisme. . .» Stalinisme ? Cette immense tragédie russe, planifiée et exécutée entièrement par des Juifs, est soudainement réduite à un seul adjectif qui rejette toute la responsabilité sur un homme qui n’est apparemment pas juif. En fait, Beria symbolise tous les maux du « judéisme » , qui « hante encore l’imaginaire public tant en Occident que dans l’ex-Union soviétique ». Pourtant, le nom de cet homme (ainsi que quelques autres) a été effacé de l’histoire et presque personne n’a entendu parler de lui.
Ilya Ehrenbourg
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Il y avait aussi Ilya Ehrenburg, qui est peut-être le plus célèbre comme le Juif qui a enseigné aux gens à haïr – à « tuer tous les Allemands parce qu’ils ne sont pas humains ».(32)
C’est Ehrenburg qui a incité les troupes à violer et à mutiler des femmes allemandes, polonaises et tchèques comme forme de punition, dans le cadre de son agitation en faveur du génocide contre tous les Allemands. (33)
« Les Allemands ne sont pas des êtres humains. Désormais, le mot « allemand » est la plus horrible des malédictions. Désormais, le mot « allemand » nous blesse au cœur. Nous n’avons rien à discuter. Nous ne nous enthousiasmerons pas. Nous tuerons. Si vous n’avez pas tué au moins un Allemand par jour, vous avez perdu votre journée… Si vous ne pouvez pas tuer un Allemand avec une balle, alors tuez-le avec votre baïonnette. Si votre partie du front est calme et qu’il n’y a pas de combat, tuez entre-temps un Allemand… Si vous avez déjà tué un Allemand, tuez-en un autre – il n’y a rien de plus amusant pour nous qu’un tas de cadavres allemands. Ne comptez pas les jours, ne comptez pas les kilomètres. Ne comptez qu’une chose : le nombre d’Allemands que vous avez tués. Tuez des Allemands ! … – Tuez en! Il faut les tuer tous!”
Et dans un autre tract : « Les Allemands doivent être tués. Il faut les tuer… Vous vous sentez malade ? Ressentez-vous un cauchemar dans votre sein ? … Tuez un Allemand ! Si vous êtes un homme juste et consciencieux, tuez un Allemand ! … Les tuer!” (34)
Mais selon Wikipédia , Ehrenburg était un homme sympathique, un journaliste discret, surtout célèbre pour ses écrits détaillant « le génocide des Juifs russes ».(35) Curieusement, ses écrits fanatiques exigeant le génocide de tous les gentils allemands ont été supprimés par nos éditeurs de livres d’histoire.
14. Et beaucoup plus
En haut, de gauche à droite : Léon Trotski (Lev Bronstein), Viatcheslav Menjinski, Félix Dzerjinski.
En bas, de gauche à droite : Nikolai Yezhov, Genrikh Yagoda (Yenokh Gershevich Iyeguda), Lavrentiy Beria.
Il y avait Leonid Reichman , chef du département spécial du NKVD et interrogateur en chef de l’organisation, un sadique particulièrement cruel.(36)
Il y en a bien d’autres, des noms qui ne signifieront pas grand-chose pour vous : Alexander Parvus, Solomon Lozovsky, Moisei Uritsky, Adolph Abramovich Joffe, Dmitry Bogrov, Lev Kamenev (de son vrai nom Rosenfeld), Maxim Litvinov (né Meir Henoch Mojszewicz Wallach-Finkelstein), Karl Radek (de son vrai nom Karol Sobelsohn), Grigori Zinoviev, Ilya Ehrenburg, Natalfy Frenkel, Mathias Berman. Tous des meurtriers de masse juifs à part entière.
14. L’anonymat des juifs
Qui est juif ? Source
Il n’est pas toujours facile de connaître avec certitude l’identité juive de certaines personnes en raison des tentatives de toutes sortes visant à dissimuler et à obscurcir les faits. Le simple fait de changer si souvent de nom rend les Juifs difficiles à cerner en matière d’appartenance ethnique. Lénine (Vladimir Oulianov) était juif. (38) (39) (40) (41)
Il est désormais largement spéculé que Staline était un juif géorgien, même le Los Angeles B’nai B’rith Messenger le créditant comme étant juif. Certes, il parlait yiddish, il avait trois épouses juives et n’avait aucun Gentil dans son entourage. Et certainement, une partie du problème réside dans le fait qu’identifier Staline comme juif élimine son utilité en tant que modèle de la psychopathologie russe, ne laissant aucun Gentil responsable des atrocités juives. Comme mentionné ci-dessus, cela permet aux Juifs de catégoriser toute la révolution « russe » et toutes les atrocités comme du « stalinisme », c’est-à-dire un événement entièrement païen alors que la destruction de la Russie et l’extermination de plus de 60 millions de Russes étaient entièrement de création et d’exécution juive. Il convient de noter qu’à l’époque la population russe ne comptait que 125 millions d’habitants.
Il existe certains sites Web juifs, tels que Jew or Not Jew, qui sont souvent très utiles pour déterminer l’origine ethnique de diverses personnes, et on peut généralement écrire et demander un avis ou une conclusion. Mais certaines personnes semblent être verboten à cet égard. L’un d’eux est Reimert Ravenholt , l’ancien directeur de l’USAID, sûrement l’un des plus grands sociopathes et psychopathes de tous les temps, ayant stérilisé de force littéralement des centaines de millions de femmes dans des pays sous-développés et causant Dieu sait combien de morts. J’ai tenté, via ces sites Web juifs, d’obtenir des informations ou des opinions sur l’origine ethnique de Ravenholt, et dans ce seul cas, tous les sites Web ont unanimement refusé de me répondre.
« La difficulté de parvenir à une compréhension précise du problème des Juifs réside dans le fait qu’il existe une religion juive distincte et une race juive distincte. Où l’un se termine et l’autre commence. Les Juifs répondront cependant avec assurance qu’ils ne constituent pas une race mais une religion et que les différencier des autres corps religieux relève d’un pur préjugé et d’un antisémitisme flagrant.(42)
« Le judaïsme est une religion, pas une nation. » C’est peut-être vrai, mais nous ne discutons pas de la religion du judaïsme ; nous nous concentrons plutôt sur les Juifs en tant que peuple. Les déclarations précédentes nient que les Juifs soient un peuple, une race ou une nation et qu’ils ne puissent être identifiés qu’en tant que membres d’une religion. Eh bien, peut-être, mais comment se fait-il que moi – et des centaines de millions d’autres – puissions regarder un visage et vous dire instantanément que cette personne est juive ? Ce serait en effet une religion très puissante si elle pouvait modifier les traits du visage de ses adeptes.
Il y a plus à cela. Il y a de nombreuses années, la Kehillah juive de New York a exercé de fortes pressions sur le gouvernement américain pour qu’il évite complètement de mentionner l’identité ethnique ou raciale des Juifs et n’enregistre que leur statut selon le passeport. Cela a eu pour conséquence que le gouvernement n’avait aucune connaissance précise du nombre de Juifs aux États-Unis, le Kehilla de New York étant le seul organisme à posséder de tels registres. Les Juifs sont allés beaucoup plus loin dans un passé récent en faisant pression sur le gouvernement américain pour qu’il rende illégale toute demande concernant la religion d’une personne, au motif que cela équivalait à une « discrimination religieuse ». Ayant réussi cela, les Juifs ont ensuite confondu les deux et ont fortement promu la thèse selon laquelle la « judéité » relève uniquement d’une religion et non d’une race ou d’une nation, rendant ainsi impossible tout moyen légal permettant de découvrir si quelqu’un est juif. Plutôt malin… Et comme de nombreux Juifs changent fréquemment de nom, l’effort d’identification devient presque impossible.
Pourtant, cet effort est nécessaire car ce n’est que lorsque nous pouvons procéder à cette identification que nous pouvons établir les liens nécessaires pour relier tous les points et comprendre à la fois notre histoire et l’actualité du monde. C’est seulement avec cette identification que nous pouvons réaliser que la pornographie est presque exclusivement un talent juif, que la soupe à l’alphabet des « préférences sexuelles » est presque entièrement promue par les Juifs. C’est seulement par cette identification des Juifs en tant que race et nation que nous pouvons réaliser que la « Révolution russe » était en réalité entièrement une révolution juive contre la Russie, et que la destruction et la colonisation de la Yougoslavie, de l’Irak et de la Libye étaient des événements entièrement juifs, même si elles ont été effectuées par l’armée américaine au nom des Juifs. Par exemple, les soi-disant « ordres provisoires » émis pour la colonisation de l’Irak par Paul Bremer prennent un tout autre éclairage quand on apprend que Bremer, le « président temporaire de l’Irak » était juif et proche d’Henri Kissinger. (43) Bremer penchait clairement vers la City de Londres et non vers George Bush. Ainsi, l’Irak fut ciblé aussi par une « révolution juive », tout comme la Yougoslavie et la Libye.
Il y a encore plus. J’ai eu une connaissance à Shanghai qui s’appelait Steven Wood – un nom difficilement identifiable comme juif. À l’époque, Steven occupait un poste élevé en ressources humaines chez Huawei et confiait qu’il possédait à la fois des passeports américains et israéliens et qu’il se rendait en Israël plusieurs fois par an. Un jour, il m’a envoyé un fichier d’environ 50 Mo, si je me souviens bien, contenant les détails techniques de tous les produits Huawei. J’ai été surpris car il me semblait que c’était une information qu’il n’aurait pas dû avoir, puisque l’ingénierie et la conception ne faisaient pas partie des attributions de son poste. Il ne m’a jamais rien dit directement mais, d’après le contexte, j’ai supposé que chaque fois qu’il se rendait en Israël, toutes les informations de Huawei l’accompagnaient. Bien entendu, Huawei n’aurait aucun moyen de savoir qu’ils avaient été infiltrés.
Compte tenu des difficultés, il est possible de commettre des erreurs occasionnelles dans l’identification, et de classer provisoirement quelqu’un comme juif alors qu’il ne l’est pas. Je dirais que ces erreurs occasionnelles sont presque toujours insignifiantes. La plupart des personnes ainsi identifiées sont mortes et ces erreurs, bien que malheureuses, ne risquent pas de causer un préjudice particulier à quiconque. Ce n’est en aucun cas une excuse pour une négligence ou une attitude désinvolte, mais je dirais que les enjeux sont tellement importants qu’« il vaut mieux prévenir que guérir ».
Il existe de nombreux autres éléments d’une immense importance historique dont la saveur est considérablement altérée chaque fois que nous pouvons procéder à ces identifications avec précision. Par exemple, la plus grande organisation criminelle de l’histoire du monde était la Compagnie britannique des Indes orientales de Rothschild, suivie de près par la Compagnie néerlandaise des Indes orientales, toutes deux créées et contrôlées par des Juifs. Rothschild et ses Juifs ont tué au moins 200 millions de personnes en Inde par exécution et par la faim, certaines estimations étant bien plus élevées. De même, la culture de l’opium en Inde et son importation en Chine étaient des entreprises entièrement juives – que nos livres d’histoire, grâce aux éditeurs juifs, imputent aux « Britanniques ». Encore une fois, Rothschild et Sassoon ont tué au moins 100 millions de personnes en Chine par des massacres et au moins 50 millions supplémentaires par d’autres moyens. Le programme MK-ULTRA de la CIA était entièrement juif au sommet et au moins jusqu’aux échelons intermédiaires, avec des atrocités qui n’auront peut-être jamais d’égal. La décision de lancer des bombardements incendiaires sur les zones résidentielles allemandes était le fait de l’un des conseillers juifs de Churchill. De même, la bulle spéculative de la Tulipe de Hollande et la Bulle des Mers du Sud étaient des concoctions juives. Il y en a beaucoup plus.
D’énormes crimes historiques sont ainsi dissimulés, la faute en étant imputée aux mauvaises personnes et laissant les Juifs libres de se présenter comme les victimes plutôt que comme les auteurs.
J’ajouterai une note finale. Les lecteurs se plaignent souvent de ne pas pouvoir trouver de preuves de certains événements historiques tels que les expulsions de Juifs de Cuba ou de Chine, affirmant que leurs recherches ne révèlent rien. Ils semblent incapables de comprendre que Google censure lourdement tout sujet traitant des Juifs, d’Israël, de l’histoire (en particulier toute histoire impliquant les Juifs), de la plupart des sujets politiques et bien plus encore. Il est presque amusant que Google n’ait aucune connaissance de l’expulsion des Juifs de Chine après la guerre, mais qu’il en sache beaucoup sur les Juifs restés en Chine et qui exerçaient une grande influence. Comme quelqu’un l’a écrit : « Il vaudrait mieux ne pas savoir tant de choses que de croire savoir tant de choses qui ne collent pas. »
Il ne faut pas souligner que Google est aussi juif qu’Israël, et que les faits historiques qu’il laisse échapper à travers le net sur ces sujets, sont ceux qui ont un point de vue propagandiste particulier et sont, le plus souvent, factuellement faux. Pour cette raison, et parce que Google suit assidûment (et enregistre à perpétuité) chaque recherche, chaque sujet, chaque mot-clé, chaque lien cliqué, chaque site Web visité, je n’ai pas utilisé Google depuis 20 ans.
Et, même si je n’ai aucun programme ou application lié à Google sur mon ordinateur, je suis toujours averti de plus de 500 tentatives par mois de la part de Google pour tenter de suivre mes mouvements en ligne.
16. Les pogroms juifs
Des réfugiés tentent d’échapper aux inondations en Ukraine en sautant dans un train. Certains s’accrochent au toit pour sortir. Ukraine, URSS. 1933. Wikimedia Commons. Source
Il s’agissait d’événements punitifs (en emprisonnant ou en tuant des Juifs) en Russie et dans certains autres pays, événements qui sont présentés comme des « chasses aux sorcières » contre les Juifs, mais qui pourraient concerner des crimes commis pendant et après la Révolution de 1917.
Nous avons tous vu suffisamment de films du type Dr. Jivago et Un violon sur le toit pour nous donner une idée de l’approche de recherche de sympathie envers les Juifs autour de la Révolution russe. En raison de leur contrôle médiatique et hollywoodien, une grande partie, voire la majeure partie, de la conscience publique mondiale à propos de cet énorme événement s’est réduite à deux éléments seulement : premièrement, Staline était mauvais, et deuxièmement, les Juifs de Russie ont terriblement souffert de ces « attaques antisémites », pogroms et persécutions que les Juifs toujours exemplairement purs ne méritaient absolument pas parce qu’aucun Juif, où que ce soit, n’a jamais fait quoi que ce soit à qui que ce soit. Il est presque inimaginable que les Juifs aient un tel contrôle sur les médias et l’édition de livres qu’ils aient pu perpétuer un bobard aussi énorme et véritablement impardonnable dans la conscience publique mondiale. Comparés à ce que les Juifs ont fait au peuple russe, les soi-disant « pogroms » étaient trop insignifiants pour mériter d’être mentionnés.
Je suis évidemment d’origine russe. Si vous et vos amis venez dans mon pays, exterminez brutalement près de la moitié de notre population, tuez mon roi et toute sa famille et volez la plupart des trésors royaux, torturez des millions de personnes, créez des famines pour en tuer des millions d’autres, détruisez la nation et l’économie, puis pillez mon pays de la plupart de ses trésors artistiques les plus inestimables tout en vidant la banque centrale de mon gouvernement au passage : eh bien oui, je pourrais être tenté de vous traquer et de vous tuer aussi.
17. Épilogue
« Nous ne devons pas oublier que certains des plus grands meurtriers [de masse] des temps modernes étaient juifs. »
Quelqu’un se souvient-il d’avoir lu quelque part ces lignes d’Hitler : « Les Juifs ne sont pas des êtres humains. Désormais, le mot « Juif » est la malédiction la plus horrible. Les Juifs doivent être tués. Il faut les tuer… Si vous ne pouvez pas tuer un Juif avec une balle, alors tuez-le avec votre baïonnette… Tuez du Juif ! Si vous êtes un homme juste et consciencieux, tuez un Juif ! Si vous avez déjà tué un Juif, tuez-en un autre… Tuez !
Non bien sûr que non. Il est alors raisonnable de se demander pourquoi Hitler est devenu l’exemple des atrocités historiques alors que la plupart de ces Juifs étaient bien pires, surtout si l’on considère qu’une grande partie, sinon la plupart, des soi-disant atrocités nazies n’étaient que de la « pornographie d’atrocités » entièrement fabriquée par les Juifs, comme cela a été prouvé après-coup. Pourquoi sommes-nous inondés d’histoires sur les méfaits d’Hitler, tant réels qu’imaginaires, alors que nous n’avons jamais entendu parler de Beria, de Kaganovitch, de Yagoda, d’Ehrenberg ou de Sverdlov ? Qui contrôle les médias et les éditeurs de livres ? Qui vous qualifie « d’antisémite nazi et haineux des Juifs » pour avoir révélé des vérités historiques ?
Pensez aux attitudes des Juifs mentionnées dans cet article, à leurs actions. Quel genre d’homme se vante d’avoir la responsabilité personnelle du meurtre « d’au moins » 20 millions d’innocents ? Quel genre d’homme dit : « Si vous êtes juste et consciencieux, tuez un Allemand » ? Quel genre d’homme confisque toutes les récoltes agricoles et condamne ainsi des dizaines de millions de personnes à la mort ? Ce sont les Juifs Khazars, aussi meurtriers et sauvages aujourd’hui qu’ils l’étaient il y a 700 ans.
De plus, ce sont les mêmes personnes qui peuplent aujourd’hui la City de Londres , où la planification de toutes ces atrocités a commencé depuis des siècles et se poursuit encore. Aujourd’hui, ils s’habillent joliment, prennent le thé de l’après-midi avec la famille royale et se brossent toujours les dents après chaque repas. Mais ils sont responsables d’un million de morts en Irak, et de bien d’autres tragédies récentes. Si le COVID-19 a été prévu, c’est ici que cela a été concocté. Ce sont ces gens qui veulent une troisième guerre mondiale avec la Russie, la Chine et l’Iran, et ils l’auront presque certainement parce que les Américains qu’ils contrôlent sont assez stupides pour la déclencher.
Et ce sera la fin.
*
Les écrits de M. Romanoff ont été traduits en 32 langues et ses articles ont été publiés sur plus de 150 sites web d’information et de politique en langue étrangère dans plus de 30 pays, ainsi que sur plus de 100 plateformes web en langue anglaise. Larry Romanoff est un consultant en gestion et un homme d’affaires à la retraite. Il a occupé des postes de direction dans des sociétés de conseil internationales et a créé sa propre entreprise internationale d’import-export. Il a été professeur vacataire à l’université Fudan de Shanghai, où il a présenté des études de cas sur les affaires internationales à des classes supérieures d’EMBA. M. Romanoff vit à Shanghai et rédige actuellement une série de dix livres sur la Chine et l’Occident. Il est l’un des auteurs ayant contribué à la nouvelle anthologie de Cynthia McKinney intitulée “When China Sneezes” (Quand la Chine éternue). (Chapitre 2 – Faire face aux démons)
Ses archives complètes peuvent être consultées à l’adresse suivante
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Il peut être contacté à l’adresse suivante
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NOTES (toutes en anglais)
[1] Les Juifs de Staline
https://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3342999,00.html
[2] Juifs et révolutions
https://www.bluemoonofshanghai.com/politics/8184/
[3] 13 mars 1881 Assassinat du tsar Alexandre II à Saint-Pétersbourg
https://www.history.com/this-day-in-history/czar-alexander-ii-assassinated
[4] MANIFESTES SUR L’ASSASSINAT D’ALEXANDRE II [1881]
https://alphahistory.com/russianrevolution/manifestos-assassinat-of-alexander-ii-1881/
[5] Famine russe de 1891-1892
https://www.volgagermans.org/history/famines/famine-1891-1892
[6] Révolution russe de 1905
https://spartacus-educational.com/RUS1905.htm
[7] Guerre russo-japonaise
https://www.history.com/topics/japan/russo-japanese-war
[8] Jacob Schiff aiderait à industrialiser et à militariser le Japon non chrétien pour lutter contre les chrétiens du tsar de Russie.
http://www.thechristiansolution.com/doc2009/145_Holodomor.html
[9] Stolypine, Pierre
https://www.encyclopedia.com/history/encyclopedias-almanacs-transcripts-and-maps/stolypin-peter
[10] Dmitri Bogrov
https://spartacus-educational.com/RUSbogrov.htm
[11] Dmitri Bogrov
https://en.wikipedia.org/wiki/Dmitry_Bogrov
(11a) Wall Street and the Bolshevick Revolution
https://www.voltairenet.org/IMG/pdf/Sutton_Wall_Street_and_the_bolshevik_revolution-5.pdf
[12] L’hébreu américain, 1920
https://en.wikipedia.org/wiki/The_American_Hebrew
[13] Robert Wilton
https://sunray22b.net/robert_wilton.htm
[14] La révolution russe menée par les Juifs
http://www.renegadetribune.com/the-jewish-led-russian-revolution/
[15] La révolution russe menée par les Juifs
http://www.renegadetribune.com/the-jewish-led-russian-revolution/
[16] La révolution russe menée par les Juifs
http://www.renegadetribune.com/the-jewish-led-russian-revolution/
[17] Peuple Juif, 8 février. 1919 .
http://fau.digital.flvc.org/islandora/object/fau%3A32504/datastream/OBJ/view
[18] Les bolcheviks juifs ont massacré 66 millions de chrétiens en Russie
[19] La révolution russe menée par les Juifs
http://www.renegadetribune.com/the-jewish-led-russian-revolution/
[20] La révolution russe menée par les Juifs
http://www.renegadetribune.com/the-jewish-led-russian-revolution/
[21] Déni de l’Holodomor – Un crime contre l’humanité
http://www.thechristiansolution.com/doc2009/145_Holodomor.html
[22] La révolution russe menée par les Juifs
http://www.renegadetribune.com/the-jewish-led-russian-revolution/
[23] Lazar Kaganovitch – le meurtrier de Staline
https://rense.com/general11/stal.htm
[24] Lazar Moisseievitch Kaganovitch
https://www.jewishvirtuallibrary.org/kaganovich-lazar-moiseyevich
[25] Yakov Sverdlov. 100 ans depuis la mort du « diable de la révolution »
https://topwar.ru/155444-jakov-sverdlov-100-let-so-dnja-smerti-djavola-revoljucii.html
[26] Yakov Sverdlov : le démon de la révolution léniniste. 6 faits qu’on ne trouve pas dans les manuels
[27] Petit-fils d’un commerçant et frère du banquier américain YM Sverdlov (Gauchmann Aaron Moishevich)
https://sofya1444.livejournal.com/3187005.html
[28] Yakov Sverdlov-biographie
https://biographe.ru/politiki/yakov-sverdlov
[29] Le secret de la mort de Yakov Sverdlov
https://proza.ru/2012/08/02/513
[30] Le premier commissaire du NKVD à être abattu. Genrikh Yagoda
https://spbvedomosti.ru/news/nasledie/pervyy-rasstrelyannyy-narkom-nkvd-genrikh-yagoda/
[31] Massacre de Katyn
https://en.wikipedia.org/wiki/Katyn_massacre
[32] Ilya Ehrenbourg militait pour le génocide contre les Allemands
https://ww2gravestone.com/ilya-ehrenburg-the-leading-soviet-propagandist-of-the-second-world-war/
[33] Ilya Ehrenburg – Tuez tous les Allemands parce qu’ils ne sont pas humains
[34] Ilya Ehrenberg – L’homme qui a inventé les « six millions »
https://rense.com/general75/ehr.htm
[35] Ilya Ehrenbourg
https://en.wikipedia.org/wiki/Ilya_Ehrenburg
[36] Ilya Ehrenbourg
https://en.metapedia.org/wiki/Ilya_Ehrenburg
[37] Les Juifs de Staline
https://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3342999,00.html
[38] Lénine était juif
http://www.jewornotjew.com/profile.jsp?ID=1
[39] Les racines juives de Lénine
https://www.thejc.com/news/features/lenin-s-jewish-roots-1.447185
[40] (Israël Moïse) Blank à Odessa au début des années 1800. Le grand-père de Vladimir Ilitch Oulianov — il a commencé à prendre le pseudonyme de Lénine vers l’âge de 30 ans — était né Cyrille M Moïsseievitch.
[41] Lénine était-il juif ?
https://www.myjewishlearning.com/article/was-lenin-jewish/
[42] LA CAUSE DES TROUBLES MONDIAUX
https://www.bluemoonofshanghai.com/wp-content/uploads/2022/09/The-Cause-of-World-Unrest.pdf
[43] L’humanité à la croisée des chemins
https://www.bluemoonofshanghai.com/politics/humanity-at-the-crossroads/
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